Pourquoi la majorité des femmes n’ont jamais eu (et n’auront jamais) d’orgasmes ?
Je vais vous raconter l’histoire de 10 femmes que je connais. Encore une fois, c’est du concret pour que cela soit le plus parlant possible et ce afin que cela fasse écho en vous. C’est très représentatif car certaines sont célibataires, d’autres sont en couple (avec ou sans enfant). Les âges vont de 24 ans à 48 ans donc vous voyez, c’est assez large. De leur propre aveux, elles m’ont confirmé qu’elles n’avaient jamais connu l’orgasme, celui qui rend folle ! Encore une fois, que ce soit en solo ou quand elles font l’amour, ce n’est pas zéro plaisir. C’est juste qu’elles sentent bien que ce n’est pas l’extase !
Il y a en effet une sacrée différence entre « c’était bon » et « c’était incroyable ». Elles, voilà ce qu’elles veulent vivre : le coït, le vrai de vrai, celui qui les transporte. Or, il ne suffit pas de le vouloir, il faut aussi une dose de motivation ce qui fait défaut à 90% des femmes (voir plus).
Vous allez voir, cela se confirme avec mon petit test !
La sexualité doit rimer avec curiosité
Ces messieurs remportent la palme : premiers sur l’exploration sexuelle !
Je le répète mais les hommes ont bien des défauts mais ils ont une qualité quand il s’agit de sexe, ils n’ont pas peur de se masturber. Et oui, ils testent différentes façons de s’exciter, de se caresser. Ils parcourent leur pénis, le gland et l’entièreté de leur engin avec leurs mains mais pas que. En effet, ils n’hésitent pas à acheter des sextoys plus ou moins farfelus ou à en créer en mode DIY. Ils ressentent ce besoin de connaitre leur sexe par cœur.
Et ils ne s’arrêtent jamais, ils ont toujours de bonnes idées ! À aucun moment ils pensent tout savoir ou que tout est acquis, non non.
Qu’est-ce qui se passe quand je stimule mon prépuce ? Que se passe-t-il si je fais un focus de plusieurs secondes sur le frein ? Comment je peux faire redescendre la pression si je suis sur le point d’éjaculer ? Et si je malaxe mes testicules de cette façon ? J’en passe et des meilleures. Ils sont donc curieux, une curiosité pas du tout mal placée car elle les aide ensuite à faire l’amour avec leur partenaire de la meilleure façon qui soit. Ils sont alors les meilleurs guides vu qu’ils savent parfaitement ce qui leur fait le plus de bien.
Et vous mesdames, est-ce que vous vous intéressez à votre sexe ?
Et bien en interrogeant ces 10 femmes, il en ressort que c’est tout l’inverse de ces messieurs. Je pense qu’il y a une vraie crainte concernant l’exploration du sexe féminin chez ces dames. Pourquoi ? C’est très psychologique je pense mais pas que…
En posant la question à ces 10 personnes, les 3/4 avaient une relation très lointaine avec leur sexe. Elles s’en préoccupaient uniquement lors de la relation sexuelle (et c’est déjà trop tard), lors des règles ou lors d’un souci d’ordre gynécologique.
C’est bien avant qu’il faut s’en occuper or cela fait défaut à énormément de femmes. Il faut dire que la « complexité » du sexe féminin n’aide pas. Dès lors, beaucoup ont besoin d’un échange avec leur partenaire, un moment de communion qui semble être le bon moment pour réveiller leur vulve, leur clitoris, leur point G donc la seule façon d’avoir des orgasmes. C’est faux selon moi. Beaucoup pensent que la sexualité, cela se vit sur l’instant et donc qu’on ne doit pas trop réfléchir. Les choses se feront naturellement. Mon avis sur la question ? Oui il faut du laisser aller, de l’abandon mais le « on verra bien » marche rarement.
Les orgasmes, cela se travaille car c’est la résultante d’un mécanisme (assez simple au final) qu’il faut saisir. Le sexe féminin est fait d’un tas de rouages qu’il faut comprendre et analyser pour justement savoir comment les mettre en route. L’improvisation n’est pas votre alliée ! J’ai envie de dire : mesdames, masturbez-vous pour mieux vous comprendre !
De même, si vous mettez dans les mains de l’autre la survenance de l’orgasme vaginal par exemple, c’est la catastrophe assurée !
Pourquoi votre partenaire n’est-il pas la clé de votre plaisir sexuel ?
Sauf à tomber sur un partenaire génial ou devin, je le répète mais il ne peut pas connaitre tout de vous, de votre corps, de votre sexe alors même que vous ne savez pas quelle est votre zone érogène la plus sensible, quelle partie de votre point G vous fait le plus d’effets etc. C’est un peu comme si j’essayais pour notre futur dîner en amoureux de vous faire votre dessert préféré. Dès lors il y a 99,99% de chances que je me trompe si vous ne m’avez pas donné l’info en amont. Or je vais mettre le doigt sur le nœud du problème : vous ne savez même pas quelle douceur sucrée vous fait réellement saliver ! Comment voulez-vous que votre partenaire se mette aux fourneaux ! 😉
Si on en revient à votre corps, c’est pareil. Vous n’allez pas pouvoir guider votre partenaire car vous n’avez pas fait ce travail d’exploration seule. Vous n’avez jamais eu d’orgasmes en solo donc il est hors de question de mettre sur le dos de votre partenaire votre incapacité à avoir des orgasmes. Je sais, je suis dur mais c’est pour vous faire comprendre que vous devez changer votre façon de penser votre sexualité. Vous avez tout à y gagner !
C’est à l’homme de tout savoir sur votre vagin ?
Le fait qu’il y ait une majorité de femmes à ne pas se pencher plus que ça sur leur corps (et de la bonne façon), cela engendre des comportements très néfastes pour justement atteindre l’orgasme. Entre celles qui essayent mais qui n’y arrivent pas et celles qui ne se sont jamais vraiment posées la question du fonctionnement de leur sexe, tout concorde à en faire des femmes qui baissent les bras (très/trop rapidement). J’ai alors très souvent entendu durant mes relations passées (et chez ces 10 femmes dont je vous parlais) des réflexions du type :
- c’est le mec qui doit bien s’y prendre.
- c’est lui qui va me faire découvrir ma sexualité.
- avec mon ex c’était nul mais je croise les doigts pour que mon nouveau copain soit mon déclic.
Mesdames, j’ai envie de vous dire, il faut prendre votre indépendance sexuelle. C’est la clé pour faire de vous une femme plus épanouie ! Tout ne tourne pas autour de votre partenaire ! Il faut vous obliger à vous faire du bien seule, un plaisir égoïste qui aura de supers répercutions sur votre sexualité en couple !
Bref, ce n’est pas étonnant que vous ne jouissiez pas ! Le plus étonnant c’est que vous ne vous êtes pas remise en question plus tôt vu que vous êtes clairement dans une impasse. C’est votre sexe, pas celui de votre partenaire donc ce n’est pas à lui d’aller chercher l’interrupteur spécial orgasmes.
Mais est-ce uniquement une question de méconnaissance de ces dames de leur corps ?
Jouir, c’est aussi une question de motivation
Il faut vous organiser pour bosser le sujet des orgasmes
Le plus flagrant, et c’est là l’importance de mon petit sondage chez ces 10 femmes, c’est l’argumentaire et/ou les phrases bateau de ces femmes qui expliquent leur non implication dans la connaissance de leur sexualité.
Voici un petit résumé quand on leur parle de techniques pour avoir des orgasmes :
- je n’ai pas le temps (vie de famille, enfants…).
- c’est trop compliqué.
- ce n’est pas le bon moment.
- je verrai ça plus tard avec mon homme.
- tu es sûr que cela marche ? Je n’y crois pas vraiment (avec l’inaction qui en découle).
- j’ai déjà tout essayé, laisse tomber…
Le plus dingue, quand on creuse un peu, c’est qu’on comprend vite que pour beaucoup, le sexe devrait être inné or la réalité est tout autre. Et oui, beaucoup de gens ne comprennent pas qu’il faut se donner à 100% pour y arriver. Il faut donc prendre sur son temps libre pour étudier la question et se donner le temps, c’est le cas de le dire. C’est la faute à notre société où tout est dans l’immédiateté. Le « je veux donc je dois avoir tout de suite », cela ne fonctionne pas dans la sexualité. Ce n’est pas comme commander un produit sur Amazon !
Il n’y a rien de binaire. Ce n’est pas tout ou rien. Si vous n’avez pas de résultat, c’est que vous devez effectuer des ajustements sur votre façon de vous masturber, de vous émoustiller etc.
Pourquoi je vous dis ça ? Tout simplement parce-que beaucoup de femmes n’ont soi-disant pas le temps pour étudier la sexualité féminine mais elles vont avoir le temps de regarder 3 épisodes de leur série préférée sur Netflix le soir avant de se coucher. Au final, c’est une question de priorités encore une fois. On ne peut pas se plaindre de ne pas jouir si on ne fait pas ce qu’il faut pour.
Je sais, je vais encore passer pour le père fouettard mais c’est pour vous mettre face à la réalité des faits.
Un accès gratuit à ma méthode, et pourtant…
Le plus fou, c’est que j’ai offert un accès à ma méthode spéciale orgasmes féminins à ces 10 femmes et vous savez quoi ? Le plus hallucinant c’est que seule 4 d’entre elles se sont connectées à la zone membre et sur ces 4 personnes :
- 1 n’a pas été plus loin car elle ne voulait pas y passer plus de 10 minutes, dixit la demoiselle.
- une autre avait bien commencé et elle était super intéressée mais son homme, vexé, lui a dit qu’elle n’avait pas besoin de ça pour jouir donc elle a tout stoppé.
- 2 ont été très studieuses.
Le plus parlant, ce sont les résultats obtenus par ces deux femmes très assidues (30 ans et 43 ans). Ces 2 femmes qui ont bossé ma méthode sans se poser de question ont jouit et éjaculé en moins de 15 jours… CQFD
Mais alors, pourquoi les 6 autres femmes n’ont même pas essayé de travailler ma formation en ligne ? Vous trouverez la réponse dans ma petite liste ci-dessus, une liste de pseudo-arguments les poussant à ne pas en apprendre plus sur elles (c’est trop difficile…). Elles n’ont alors pas cherché plus loin même si je leur donnais, à travers ma méthode, les clés des orgasmes à la chaine, tout ça à cause de simples a priori au final.
Comment cela s’est-il terminé ?
Sur ces 8 femmes un peu têtues (6 n’ayant même pas testé ma méthode, les 2 autres n’étant pas encore convaincues), j’ai pu avoir une conversation avec 5 d’entre elles. Je voulais qu’elles s’entretiennent avec les 2 femmes qui avaient suivi ma méthode à la lettre, ce qu’elles ont fait via WhatsApp quelques jours plus tard. Parler avec 2 personnes qui avaient un parcours similaire, cela a été leur déclic. Dès lors elles se sont dit que c’était possible.
Pourquoi pas elles, voilà ce qui est ressorti de cette conversation. Elles ont eu raison car en se mettant au boulot, elles ont toutes trouvé leur point G ! Comme quoi, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. 🙂
Les 3 récalcitrantes n’étaient à mon avis pas encore prêtes pour se retrouver nez à nez avec leur point G. Ce n’est pas grave, elles reviendront d’elles-mêmes sur ma plateforme quand elles auront pris un peu de recul. Inconsciemment, elles vont y repenser et vu que je leur ai donné le lien de cet article, voir qu’elles sont les seules à ne pas jouir au final, cela va vite leur donner envie de tester mes astuces.
À vous de jouer !
Et vous mesdames qui me lisez, que vous ne croyez plus à l’orgasme, que vous ayez du mal à sortir de votre zone de confort ou que vous ayez besoin d’un coup de pouce voir d’un coup de pied aux fesses, en lisant cet article, vous avez déjà faire une partie du travail. Et oui, vous vous êtes mise en condition pour apprendre à jouir ! C’est le déclic dont vous aviez besoin : savoir que vous n’êtes pas seule dans cette situation et qu’il y a des solutions pour apprendre ou réapprendre à vous faire du bien !
Le mot de la fin ? On se bouge et on s’y met ! 🙂