4 conseils pour stimuler ses seins et l’envoyer au septième ciel
Les seins, ce fantasme !
Je vais vous parler d’une zone de l’anatomie féminine qui donne des suées à tous les hommes de la planète. Qui n’a jamais eu le regard un peu baladeur sur un décolleté pigeonnant, sur un topless sur la plage ou sur une femme qui se penchait un peu trop en avant ? On est tous pareils, les seins nous font de l’effet et c’est même une obsession pour certains. On a cette attirance parfaitement normale pour la poitrine féminine et qu’on les préfère gros ou petits, ils restent un élément très sexuel du corps féminin.
J’ai envie de dire que nous les hommes, on en fait tout un plat de cet élément anatomique de ces dames mais quand vient le moment de la relation sexuelle, on les laisse très très rapidement de côté en ne jouant pas assez avec ! C’est une faute grave car ils ont un rôle énorme à jouer dans le bon déroulement de vos préliminaires mais encore plus dans l’atteinte de l’orgasme et de la fontaine en permettant une mise en condition parfaite (érection de ses organes sexuels, bonne lubrification…) donc une bonne pénétration. Il va falloir arrêter de juste les effleurer et de filer droit vers la vulve de votre petite amie. Je me répète mais on n’est pas dans un film porno !
Mettez en route l’usine à ocytocine
Quel est l’intérêt premier de jouer avec ses seins ? En les stimulant, vous allez favoriser la sécrétion d’ocytocine, l’hormone de l’amour comme on l’appelle mais surtout qui dit libération d’hormones dit influence sur l’excitation sexuelle de votre partenaire donc afflux de sang dans les organes génitaux donc érection de ces derniers et le mot érection même chez la femme n’est pas trop fort, pensez au clitoris. Sachez-le, booster cette production d’hormones va bien au-delà du simple orgasme, cette hormone a en effet un impact sur le corps mais aussi l’esprit.
Donner des orgasmes du point G notamment en passant de longues minutes pendant les préliminaires à vous occuper de sa poitrine, c’est aussi jouer bénéfiquement sur son attachement envers vous, sur sa confiance en elle et et en vous notamment et de façon prolongée, l’ocytocine continuant à faire effets encore plusieurs heures après la relation sexuelle mais pour ça, il faut prendre son temps et ne pas vous précipiter…
Pas de précipitation et un max de douceur
Messieurs, ne vous emballez pas
On est tous les mêmes nous les mecs, on a ce besoin bestial de nous ruer sur notre petite amie et surtout sur ses seins. Nos mains, notre bouche et notre langue sont attirées comme des aimants mais il y a un mais. En effet on se lasse très vite dans le sens que du moment où on les a touchés, on les a léchés et on les a massés quelques secondes, on les laisse de côté assez (trop) rapidement. Il faut bien comprendre que c’est la pire des choses à faire. Pourquoi ?
Les femmes sont en général très sensibles de cette zone de leur corps certes mais le sein a tout de même besoin d’une vraie stimulation qui dure dans le temps. Je veux dire par là qu’il faut y passer de 5 à 10 minutes voir beaucoup plus afin qu’une véritable érection du sein se produise : mamelons qui pointent, aréoles qui peuvent changer de couleur, poitrine qui peut gonfler, se raffermir…
Bref, pour se faire, il faut y passer du temps et puis le sexe, ce n’est pas une course de toute manière car n’oubliez pas qu’érection du sein rime avec érection de tous les autres organes génitaux dont la vulve (petites lèvres, clitoris…) et qu’en commençant par le haut de son corps, vous participez à l’excitation de tout ce qui se trouve en-dessous de la ceinture.
La voie royale vers l’orgasme !
De plus cette partie du corps est un bon atout pour aider votre partenaire à atteindre l’orgasme. Je vous parle de ça car une ex à moi, Lætitia, avait justement du mal à atteindre l’orgasme et c’était à l’époque où je ne connaissais pas encore par cœur le fameux point G. Le fait de stimuler sa poitrine durant la pénétration lui permettait d’accroitre les sensations et surtout de centrer son esprit sur autre chose que l’acte sexuel de pénétration en lui-même loin d’être désagréable, ce n’est pas le problème mais parfois c’est très psychologique pour certaines femmes.
En effet, faire une fixation sur l’idée et cette envie de jouir les empêche de jouir donc il est bon parfois de leur permettre de faire un focus sur autre chose. Je peux vous dire que cela a très bien marché avec mon ex. Elle a même pu me dire qu’à force d’apprivoiser le plaisir procuré par cette zone de son corps, cela pouvait même précipiter l’orgasme d’une façon parfois assez incroyable. J’en ai été le témoin, une relation sexuelle sans ou très peu de stimulation des seins VS une relation sexuelle avec beaucoup de stimulation de la poitrine et bien c’est vrai que la différence était flagrante.
J’en viens alors à une des clés pour bien vous occuper de ses seins : vous devez les chouchouter et pas de façon brutale. La douceur est le maître mot. Vous devez donc vous contrôler car la sensibilité varie énormément d’une femme à une autre donc si vous commencez à les pétrir comme si vous étiez en train de faire une pâte à pain, c’est mal engagé ! Dans tous les cas, communiquez avec votre partenaire afin de lui prodiguer ce qu’elle aime, c’est quand même le b.a.-ba !
Mais comment on les stimule de la bonne manière ces seins au final ?
Bien stimuler sa poitrine, c’est tout un art !
L’anatomie du sein
Déjà, qu’est-ce qu’une bonne stimulation des seins ? Selon moi, c’est vous mettre dans la tête qu’il ne faut pas voir le sein comme une entité unique qu’on caresse d’une façon approximative en se disant que « ça devrait le faire ».
Vous le voyez sur l’illustration ci-dessous, il y a plusieurs zones distinctes dont vous devez vous occuper de différentes manières : en les stimulant avec la pulpe (le bout) des doigts, avec la main entière, avec le bout ou la totalité de votre langue, avec vos baiser (donc vos lèvres plus ou moins humidifiées)… en prenant soin comme je vous disais de vous occuper de TOUT le sein (zones 1, 2, 3 et 4) et pas juste vite fait du mamelon qui pointe sans oublier de le faire sans vous précipiter car il faut du temps, le « emballé c’est pesé » en 2 minutes chrono ne menant à rien en général car ce n’est pas en si peu de temps qu’on peut faire les choses et surtout bien les faire.
On masse, on lèche, on suce (le mamelon seul et/ou le mamelon et l’aréole en même temps) on titille, on pince, on caresse de droite à gauche et de gauche à droite, on frictionne dans le sens des aiguilles d’une montre et inversement, on presse plus ou moins fort. On utilise des accessoires : le glaçon, la chantilly… Bref, on innove, on casse la routine en ne faisant pas toujours la même chose pour ne pas être prévisible et surtout on n’oublie aucun centimètre carré de ses seins.
La poitrine est une zone érogène primaire à part entière
Je vais vous dire une chose, si la poitrine est considérée comme étant une zone érogène secondaire, j’ai envie parfois de la considérer comme une zone érogène primaire tellement elle peut être puissante. Cela dépend vraiment des personnes mais certaines femmes ont un niveau de sensibilité tellement fort que l’orgasme peut se produire rien qu’en stimulant le sein, notamment le mamelon. Pourquoi ? Sachez que lors d’un orgasme, il y a un pic d’ocytocine.
Et comme vous le savez maintenant, stimuler les seins entraine une sécrétion d’ocytocine, ce n’est donc pas surprenant que l’orgasme puisse se produire juste avec une stimulation de la poitrine un point c’est tout. Dès lors c’est en apprenant à bien stimuler ses seins que vous saurez si vous pouvez la faire jouir juste avec cette zone érogène sans besoin d’aller jouer avec sa vulve ou son vagin. Cela peut paraitre étonnant mais je l’ai vécu donc oui ça marche mais pas avec toutes les femmes, vous vous en doutez !
Écoutez votre partenaire et surtout pratiquez (la pratique fera toute la différence!), c’est comme ça que vous deviendrez un as en la matière.
Aimez ses seins sans modération !
Tombez amoureux de sa poitrine !
Pour bien s’occuper des seins de votre copine, il faut tout d’abord qu’elle les aime et pour qu’elle les aime vous devez les aimer et le lui dire. Peu importe sa taille de bonnet, on s’en fout ! Pourquoi c’est important ? Car la femme et la vision qu’elle a de son corps, c’est souvent compliqué même si elle a l’air bien dans son corps. Dès lors la question de sa confiance en elle est connectée à la question de l’amour qu’elle doit avoir pour l’image qu’elle a d’elle et le reflet qu’elle voit dans le miroir. C’est bien vous qui pouvez l’aider et cela va bien au-delà du seul fait d’assumer une poitrine trop grosse, trop petite ou un sein un peu différent de l’autre. Il est ici question de lui permettre de s’aimer à travers vos yeux.
La question de la confiance en soi c’est aussi une question de confiance en vous car votre comportement aura un impact sur elle pour qu’elle puisse justement lâcher prise, se lâcher avec vous et par la même ressentir le vrai plaisir de cette zone érogène.
Dès lors complimentez-la sur ses seins: la forme, le toucher, la taille… Si elle n’aime pas forcément sa taille, dites-lui que vous trouvez sa poitrine belle et excitante. Dans tous les cas, vous devez lui montrer la féminité de cette partie de son corps et le côté sexuel. Elle doit en effet être fière de sa poitrine et pas l’inverse car vous, vous en êtes fier et vous êtes tout émoustillé dès qu’elle se dénude en face de vous ! Offrez-lui de la lingerie, complimentez-la tout le temps.
C’est votre rôle et ne vous dites pas qu’elle sait toutes ces choses, elle doit l’entendre de votre bouche ! Je peux vous assurer qu’une femme qui complexe à la base mais qui sent qu’elle attire et que ses seins vous rendent fou, c’est un déclencheur pour qu’elle commence à les aimer, à en prendre soin pour les mettre de plus en plus en valeur. L’impact sur le plaisir qu’elle prendra lorsque vous vous occuperez de ses seins est juste énorme !
Prenez du recul et ouvrez les yeux !
Vous avez une préférence ? Vous êtes plutôt attiré par les bonnets D voir plus mais votre copine n’a entre guillemets qu’un bonnet B ? Il va alors falloir changer votre mentalité sinon vous la braquerez même inconsciemment. C’est très psychologique, croyez-moi ! Et pour ceux qui ont des femmes avec des petites poitrines, de mon avis personnel, les petits bonnets sont parfois encore plus sensibles que les gros bonnets mais je ne fais pas une généralité.
Vous voyez, les seins sont une zone dans laquelle vous ne devez jamais cessé de vous aventurer. Vous aurez toujours à apprendre à leur sujet !
Amicalement,
Nicolas