Yohan stimulait la bonne zone du vagin de Cassandra mais il ne sentait (et ne voyait) pas son point G
Je vais aujourd’hui vous parler d’un couple du Sud de la France, Yohan et Cassandra, respectivement 20 et 22 ans. Vous allez voir, leur histoire est très intéressante car après avoir acheté ma méthode, c’est Yohan qui a été confronté à un problème de taille. Et oui, il avait le doigt au bon endroit, sur la paroi antérieure du vagin de sa copine, mais il ne sentait rien, il ne voyait rien. Pas de point G à l’horizon !
Il y a une explication, une raison qui explique d’ailleurs que beaucoup de femmes éprouvent des difficultés ou sont dans l’incapacité d’avoir des orgasmes. Je remercie Cassandra et Yohan d’avoir accepté de partager leur expérience sur mon blog ! En effet les cas concrets, il n’y a rien de plus parlant !
Cassandra ne connaissait pas son point G
Cassandra : « j’aime le sexe mais je n’ai pas de vrais orgasmes »
Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vais vous expliquer brièvement la situation de ce jeune couple, cela plantera le décor.
Cassandra voit la sexualité comme un moment qui se partage donc vous l’aurez compris, elle n’est pas du genre à se masturber en solo. Point G et autres zones érogènes du vagin, elle en a évidemment entendu parler mais cela s’arrête là.
Certes elle prend du plaisir dans sa sexualité mais c’est loin de lui déclencher une émotion folle, un orgasme à s’en mordre les lèvres, un sentiment de plénitude, quelque chose qui lui remue les entrailles.
C’est elle qui est tombée sur mon blog. Elle ne se reconnaissait donc pas dans mes témoignages de femmes qui jouissent ou qui éjaculent pour la première fois. Un peu choquée par tout ce qu’elle lisait, elle en était venue à la conclusion que le sexe, c’était bon mais qu’elle n’avait jamais réellement eu d’orgasme. C’est un bon point de s’en rendre compte, c’est comme ça que les choses bougent.
Mon vagin, cet inconnu !
Cassandra est quelqu’un d’à l’aise avec son corps, oui, mais ce n’est pas pour autant qu’elle le connait. Elle ne prend pas le temps de se caresser, de se parcourir toute seule. C’est au moment de la relation sexuelle qu’elle s’en préoccupe en quelque sorte mais il est déjà trop tard.
Comme beaucoup de femmes, elle ne s’est pas réellement intéressée à sa sexualité. Elle veut les orgasmes mais sans bosser le fonctionnement de son corps, les bonnes façons de se doigter, la compréhension de ses réactions face à la stimulation de telle ou telle zone érogène de son sexe etc. Ce n’est pas comme ça que cela marche, les orgasmes ne vous sauteront pas à la figure sans rien faire. Si c’était le cas, toutes les femmes seraient comblées sexuellement !
Yohan : « je veux bien faire mais j’ai des lacunes »
Quant à Yohan, il a eu peu de copines. Qui dit peu de partenaires sexuelles dit peu de pratique donc peu d’expérience. Pour autant, se préoccupait-il d’en savoir plus avant ou pendant ses relations amoureuses sur la sexualité féminine ? Essayait-il d’en savoir plus sur les envies et les besoins sexuels de sa partenaire ? Prenait-il soin d’installer un climat propice à la communication dans son couple ? Se remettait-il parfois en question sur sa façon de lui faire l’amour, de la doigter ? La réponse est non !
Il faisait (ce qu’ils pouvait), voyait le résultat à savoir du plaisir (l’orgasme par contre toujours aux abonnés absents) et puis cela s’arrêtait là. Et oui, Yohan restait observateur de l’impossibilité de son couple de faire naitre un bel orgasme féminin, un peu submergé par son (leur) manque de savoir-faire. Il voulait bien faire mais il ne savait pas quoi faire justement. Le point positif c’est qu’il sentait bien qu’il avait besoin d’apprendre et qu’il était (très) loin de tout savoir !
Dès lors, quand deux personnes de bonne volonté mais à qui il manque la « notice » font l’amour, et bien cela ne match pas sexuellement. La bonne nouvelle c’est que tout problème a une solution !
Il a fait une impasse : les préliminaires
Cassandra : 1, Yohan : 0
Cassandra a donc acheté ma méthode pour deux raisons : la découverte de ses orgasmes et la curiosité concernant le squirting. Elle en a d’ailleurs parlé à Yohan qui a pu de son côté travailler aussi tous mes modules.
En quelques jours, Cassandra a bien évolué. Il lui a fallu attendre un mois de pratique pour éjaculer mais déjà en 15 jours, elle avait son premier orgasme vaginal en solo. Pas mal, n’est-ce pas ?
Yohan, lui, en a découvert beaucoup sur le sexe féminin. Pour autant, quand il a fallu passer à la pratique à deux, cela s’est corsé. Pourquoi ? Il était bien trop pressé (comme 99% des mecs).
Yohan avait suivi à la lettre mon processus pour trouver le point G sans difficulté. Il était dessus mais il ne le voyait pas et il ne le sentait pas. Cassandra était pourtant catégorique, elle de son côté, elle sentait bien une zone striée, très différente du reste de son vagin. Yohan, lui, il ne sentait rien et pour cause. En effet il est passé complètement à côté de mon module 4, à savoir les préliminaires.
La préparation de l’orgasme, c’est essentiel
Quand Cassandra se masturbait seule, elle prenait son temps. Elle passait bien 20 minutes à jouer avec ses seins, l’intérieur de ses cuisses etc. avant de stimuler ses zones érogènes primaires, de vrais préliminaires en solitaire, chose qu’elle ne faisait pas avant. En travaillant ma méthode, elle a bien compris l’importance de cette étape.
Le problème c’est qu’en couple, ils avaient l’habitude de passer très vite au sexe pur et dur si je puis dire, à la pénétration vaginale. Dès lors le côté sensuel passait beaucoup trop vite à la trappe.
En faisant une impasse sur la préparation sexuelle, les préliminaires, le point G de Cassandra n’avait donc pas le temps de « bander » grâce à toutes ces stimulations indirectes ayant une influence sur le g-spot. Contrairement à un homme qui peut avoir une érection très rapidement, une femme a besoin de plus de temps pour être excitée. L’afflux de sang dans les parties génitales (clitoris, grandes et petites lèvres mais aussi point g), le processus de lubrification, tout ça est la résultante de bons préliminaires. Et le point G y est très sensible, ne l’oubliez jamais !
Quelques idées de préliminaires
Petit aparté, voici quelques idées pour faire de bons préliminaires, vous diversifier et les rendre plus fun :
- utilisez des aliments pendant les préliminaires (chocolat…)
- préparez une atmosphère sonore sexy avec de la bonne musique qui met dans le bain
- faites une large place au massage
- pensez à des jeux sexy
- jouez avec sa poitrine
- effeuillez votre partenaire de la bonne façon
- et beaucoup d’autres choses encore à tester dans le module dédié de ma méthode
Les préliminaires, c’est un vrai processus à part entière
Au final, Cassandra et les préliminaires, c’était (et c’est) une grande histoire d’amour mais elle ne le savait pas. C’est donc tout nouveau pour elle. C’est une femme qui a particulièrement besoin de temps donc de préliminaires pour faire monter le désir. Or Yohan estimait que deux ou trois bisous avec la langue et deux minutes de cunnilingus, c’était suffisant. Et bien non, ce n’est pas suffisant et ce pour 100% des femmes ! Il faut vous le rentrer dans le crâne !
Un peu déçu, il est donc revenu vers moi en m’expliquant qu’il avait scrupuleusement suivi tous mes conseils mais qu’il n’arrivait pas à mettre le doigt sur le point G alors que sa copine y arrivait facilement.
Je sais que les préliminaires sont expédiés en quatrième vitesse par 90% des hommes donc il m’a fallu moins d’une minute pour trouver la raison de son échec.
Et vous savez quoi ? Après en avoir discuté avec lui, il a changé sa façon de faire. Convaincu, il n’a pas hésité à faire de longs préliminaires. Deux jours plus tard il me recontactait pour me dire qu’il avait enfin, et pour la première fois de sa vie, trouvé le point G d’une femme. Il a d’ailleurs vite remarqué que plus les préliminaires étaient longs, plus les orgasmes étaient puissants et faciles à déclencher. Cela en devenait presque trop facile !
Alors, qui va me dire après ça que les préliminaires, cela ne compte pas ?!