Une technique pour stimuler le point G en profondeur (à tester au plus vite) !

Dans ma méthode et sur mon blog, je vous donne des techniques, avec les doigts notamment, pour stimuler directement le point G, bien gonflé à l’intérieur du vagin. C’est la voie royale (et magique) vers les orgasmes vaginaux et les fontaines.

Or, quand on connait sur le bout des doigts l’anatomie de ce point G, et bien on peut, durant la stimulation de ce dernier à l’intérieur du sexe féminin, agir dessus avec sa main libre (l’autre main étant en train de le « doigter ») et ce afin de maximiser cette stimulation et d’accroitre le plaisir. Comment ? Je vous explique tout sans plus tarder !

Tout est une question de position du point G dans le corps féminin

Des rappels (importants) sur le point G (pour que tout s’éclaircisse)

Le point G, je vous le rappelle, se situe à 2-3 centimètres de l’entrée du vagin lorsque vous glissez votre doigt côté ventre. Une fois votre partenaire très excitée (c’est important pour faire gonfler ce point g), vous allez trouver une zone pas plus grande qu’une pièce de 2 euros (non, ce n’est pas une pub pour Carglass), une zone avec une texture très particulière, bien reconnaissable car légèrement striée, bombée, rugueuse (uniquement lorsque vous faites « le boulot » pour qu’il soit dans cet état, c’est important de le comprendre et de le répéter). Cette zone, vous ne pouvez pas la rater si et seulement si les préliminaires ont bien été effectués. Je vous le rappelle, le point G, c’est la porte d’entrée vers ce merveilleux univers qu’est l’éjaculation féminine !

À noter qu’avec les doigts, c’est selon moi la première étape (fondamentale) pour chercher, trouver et masturber ce point G car il est bon de comprendre comment cela marche mais surtout de sentir ce qui se passe dans le vagin. Et en l’espèce, les doigts le permettent très facilement. Utiliser un gode courbé, oui c’est super efficace (aussi) mais plutôt dans un second temps, un peu comme faire jouir et faire éjaculer une femme avec le pénis. Conclusion, il ne faut pas brûler les étapes car se servir de vos doigts justement (au début tout du moins), cela vous permettra d’avoir la maitrise (parfaite) de la situation.

N’hésitez pas à vous rendre sur ces quelques articles afin de vous imprégner de tous ces sujets  :

• comment trouver le point G ?
• la photo du point G, la voici !
• mes astuces pour tomber facilement sur le point G
• non, le point G n’est pas situé tout au fond du vagin
• sa localisation est-elle la même chez toutes les femmes ?

La technique en question

Un phénomène de ricochet !

Dès lors, j’en viens à cette technique qui vous fait saliver, une technique pour stimuler le point G autrement. Comment ça ? En fait, avec cette astuce, vous allez pouvoir jouer sur deux tableaux, une sorte de double stimulation du point G en parallèle. Je vous explique.

Avant d’aller plus loin, dans un premier temps, jetez un œil à cet article pour savoir comment visualiser le point G de l’extérieur. C’est un très bon pense-bête si je puis dire pour savoir où il se situe et cela fera alors la jonction parfaite avec ma technique. En effet, une fois que vous avez cette zone en tête et que vous avez les doigts de votre main droite dans son vagin (ou la gauche si vous êtes plus à l’aise), pile-poil sur son point G (une stimulation avec un doigt ou plusieurs doigts), vous allez, avec la main libre, appuyer légèrement sur cette zone au niveau du pubis (bas-ventre), toujours de l’extérieur.

Évidemment, on n’appuie pas de tout son poids sur son ventre. Il faut donc trouver la juste pression (en parlant de pression, si cela vous intéresse, vous pourrez lire mon article sur l’orgasme déclenché par un point d’acupression ici) et ce afin que l’os pubien pousse sur la vessie qui elle-même va ensuite pousser sur le point G, une vessie connectée à ce point G du fait de sa localisation.

Une illustration pour tout comprendre

Regardez pourquoi cette technique marche avec cette illustration, ce « phénomène de ricochet » ou de compression est plus parlant en image. Tout est dû à la proximité entre l’os pubien, la vessie et le point g :

L’augmentation du plaisir est indéniable voir même monumentale pour certaines ! Ici, avec cette technique, on stimule alors le point G de différentes façons. Il est cerné de toutes parts si je puis dire ! Forcément, l’impact est puissant !

La technique est géniale et facile à mettre en œuvre mais il y a un mais !

Faites preuve de délicatesse !

Le sexe, c’est à deux que cela se vit, toujours !

Peu importe la technique j’ai envie de vous dire, tout est toujours une question de délicatesse. Et oui, on écoute sa partenaire, c’est la base car vous allez opérer une pression sur son bas-ventre donc il va falloir être doux et surtout communiquer avec elle. Vous aimeriez vous qu’on vous presse sur l’estomac comme ça, par surprise, à fond les ballons, sans suivre vos sensations, vos impressions ? Non, je ne crois pas ! En plus, la vessie est quand même très sensible de base donc on va éviter de faire n’importe quoi et donc de créer une situation de malaise génératrice de beaucoup d’émotions négatives et absolument pas de plaisir !

Vous n’êtes pas en train de faire un massage cardiaque, ne l’oubliez pas donc il faut être délicat et appuyer juste ce qu’il faut. Et pour ce faire, il faut donc avoir le feu vert de votre partenaire pour vous adapter. L’adaptation, c’est le b.a.-ba. ! Il faut donc parler à celle qui partage ce moment coquin avec vous ! Cela parait bête comme conseil voir évident et pourtant !

Pour être bon au lit, il faut communiquer avec sa partenaire !

Pour atteindre le niveau de pression parfaite, communiquez pendant l’acte, il n’y a rien de plus efficace car chaque femme est différente donc les sensations (et le plaisir procuré par cette technique) peuvent varier. Dès lors, il faut essayer, tester, encore et encore. La pratique, il n’y a que ça de vrai. Il n’y a donc pas de recette miracle et c’est d’ailleurs tout le temps le cas en matière de techniques sexuelles ! La clé, c’est bel et bien de parler, d’échanger et d’expérimenter à deux.

Jouir, cela fait partie d’un cheminement, d’un processus qui vous demande de tenter et parfois de vous planter mais ça, ce n’est pas grave ! Encore une fois, le principal, c’est d’essayer des choses à deux, et le « à deux » est super important ici car si on ne pense pas duo, on fait alors tout « tout seul » dans son coin (même si on fait l’amour avec sa partenaire). Ne pas parler à l’autre alors qu’on est dans le feu de l’action, en décidant tout de manière unilatérale, c’est le début des ennuis, des incompréhensions et donc du non déclenchement des orgasmes féminins ! C’est le cercle vicieux, croyez-moi !

En conclusion, si vous avez envie de tester cette technique, vous savez maintenant ce qu’il vous reste à faire à savoir passer à la pratique, à 2, sans jamais vous déconnecter des envies et des sensations de votre partenaire ! 🙂