Témoignages : on ressent quoi lors de la toute première éjaculation féminine ?
Quand je parle d’éjaculation féminine, je fais tout mon possible pour vous prouver que toutes les femmes peuvent devenir femme fontaine. Je suis théorique mais surtout pratique. J’essaye donc de vous montrer que, dans les faits, ce n’est pas si compliqué que ça. Or, je sais très bien que les mieux placées pour parler de ce qu’elles ressentent, ce sont celles qui éjaculent, à savoir les femmes.
C’est compréhensible car c’est un peu comme demander à une femme de décrire ce que peut ressentir un homme durant l’orgasme et l’expulsion du sperme. Elles imaginent, supputent mais cela reste très subjectif vu qu’elles ne sont pas à leur place. Et bien, c’est pareil pour l’éjaculation féminine.
Dès lors, voici 9 témoignages de femmes qui ont éjaculé pour la première fois de leur vie et qui vous racontent ce qu’elles ont ressenti.
Allez, je leur laisse la parole.
Annabelle, 28 ans, s’est vidée émotionnellement
J’avais déjà entendu parler de l’éjaculation féminine à travers quelques articles dans des magasines féminins. Dans un premier temps, je n’ai pas voulu essayer. Cela avait l’air cool mais bon, je suis vite passée à autre chose. C’est quand j’ai compris le lien entre fontaines et point G que je m’y suis mise. C’est ce qui m’a vraiment poussé à foncer, moi qui était avant tout clitoridienne. D’ailleurs, je ne pensais pas qu’avoir un orgasme vaginal et fontaine, cela allait autant me remuer.
La première fois, j’ai eu l’impression de me vider de l’intérieur, un peu comme si je venais de faire un long et intense jogging mais puissance 1000. L’expulsion de liquide s’est combinée à un orgasme du point G. C’était comme si mon cerveau sortait de ma boite crânienne. J’avais l’impression que toutes mes émotions se déversaient par ce flot ininterrompu de liquide.
J’étais sous le choc, dans le bon sens du terme. Je n’avais jamais vécu ça de toute ma vie. Moi qui suis une grande fan de chocolat, je vais être franche, même une tablette entière ne me procure pas autant de plaisir, c’est pour dire. lol
Les fontaines d’Hélène, 34 ans, ce sont des « éruptions volcaniques »
Comme 99,99% des femmes, je ne savais pas ce que cela faisait d’éjaculer. J’étais du genre à avoir une très bonne lubrification vaginale mais cela s’arrêtait là. Quand j’ai enfin pu toucher du doigt l’éjaculation féminine, cela m’a fait tout drôle. Voir et sentir un liquide s’éjecter, s’expulser de mon corps, cela m’a comme terrassé. C’est comme si on me mettait K.O !
La sensation était étrange, l’éjaculat « chaud comme de la lave ». Je ressentais alors ce liquide parcourir mon urètre avec ce besoin irrépressible (et hyper satisfaisant) de pousser (avec les muscles du périnée) pour le faire sortir. Plus je le voyais couler, plus le plaisir grandissait. J’avais l’impression d’être un volcan, le magma en train de jaillir, par pulsations, avec cette envie de recommencer encore et encore.
Mes squirts, ce sont un peu mes éruptions volcaniques à moi et c’est sans danger ! Et oui, en tant que femme fontaine, je n’ai encore tué personne en éclaboussant mes partenaires. lol
Angélique, 48 ans, a eu la peur de sa vie
Franchement, lorsque j’ai éjaculé, je n’ai pas fait la maligne. Premier orgasme du point G et première fontaine de toute ma vie : j’ai tout lâché, c’est le cas de le dire. C’est comme si j’avais crée un fort séisme en moi en stimulant mon point G avec mes doigts, une secousse qui avait alors engendré ma première éjaculation féminine.
Pour être honnête, j’ai eu la peur de ma vie. Voir cet énorme jet sortir de mon corps, cela fait trop bizarre. C’est super bon mais cela rend toute chose surtout quand c’est une première. On se sent alors spéciale, différente (dans le bon sens du terme). Il faut dire que nous les femmes, on n’a pas l’habitude d’éjaculer. Je vous rassure, on la prend très rapidement tellement c’est bon.
Face à ce plaisir si intense, je suis restée quelques minutes immobile, les fesses à l’air sur mes draps mouillés. J’ai vite repris mes esprits pour remettre le couvert !
L’orgasme a alors une expression physique, une consistance. C’est quelque chose de bien concret, de palpable. On le voit de nos propres yeux. Cela surprend d’associer jouissance et véritables sécrétions corporelles. Cela bouscule physiquement et moralement.
Cela me rappelle un peu mon premier saut en parachute : on n’en mène pas large avant de franchir les portes de l’avion puis une fois en bas, on veut tout de suite ressauter tellement c’était génial !
Le squirting, cela va même plus loin selon moi : c’est énergisant. Et oui, on sent que cela nous change à l’intérieur. L’impact sur notre vie de tous les jours est donc bien réel. La raison est simple : comprendre enfin comment les orgasmes féminins fonctionnent, cela a de quoi changer une femme (et un homme) ! J’en suis la preuve vivante !
Nina, 31 ans, a enfin compris pourquoi les mecs aimaient tant la masturbation
J’avais déjà eu des orgasmes clitoridiens mais le point G, tout ça, tout ça, je n’y connaissais rien. Les femmes fontaines ? Ce n’était pas que je n’y croyais pas, c’était juste que je n’en avais jamais entendu parler.
Quand j’ai enfin pu vivre cet orgasme vaginal mais aussi cette éjaculation féminine, j’ai tout de suite compris pourquoi les hommes raffolaient tant de la masturbation. Je ne peux plus leur jeter la pierre !
L’instant où l’éjaculat sort de l’urètre, c’est une sensation folle. C’est comme si on perdait une part de nous-même. On se libère de quelque chose. Ce n’est pas facile à décrire. Il faut le vivre. Cela détend le corps et l’esprit, cela transcende. En plus, nous les femmes, on a cette chance de pouvoir éjaculer plusieurs fois de suite, sans patienter entre chaque orgasme. Alors messieurs, c’est qui les meilleures ?! lol
L’impact est à plusieurs niveaux :
- physique, car éjaculer pour une femme, c’est une nouveauté. C’est même hors du commun.
- et au niveau de l’esprit, c’est un peu comme si j’avais 10 orgasmes clitoridiens au même moment. C’est un peu ça que je ressens.
J’en suis alors arrivée à me poser une question : pourquoi ne parle-t-on pas plus de l’éjaculation féminine ? Et oui, pourquoi prive-t-on 99% des femmes d’un plaisir aussi intense ? Il y a quelque chose qui m’échappe ! C’est pour moi la méthode ultime pour jouir, l’orgasme le plus redoutable. C’est dommage que cela reste aussi confidentiel. C’est aussi pourquoi je partage mon expérience sur le blog de Nicolas. Si cela peut pousser un maximum de femmes à essayer, j’aurai apporté ma petite pierre à l’édifice !
Blandine, 55 ans, a mis 2 jours à s’en remettre
Ayant 2 mariages et de nombreux amants à mon actif, je suis tout sauf une novice en matière de sexe. Et pourtant, je peux l’affirmer aujourd’hui : l’éjaculation féminine, c’est quelque chose ! Et oui, cela secoue « les tripes » et le cerveau !
Quand j’ai enfin réussi à éjaculer, je peux vous assurer qu’en tant que femme, j’ai bien mis deux jours à m’en remettre. Pourquoi ? Je me suis en fait posée pas mal de questions sur moi-même, sur ma sexualité. Bref, je me suis remise en question en me disant que j’étais passée, durant toutes ces années, à côté de quelque chose de vraiment jouissif. Quelle perte de temps au final !
Suite à cette expérience folle, cela m’a surtout fait comprendre que je n’étais pas si en phase que ça avec mon sexe et avec moi-même. Je pensais tout savoir mais en fait pas du tout. Je pense que je m’en suis un peu voulu (d’être trop sûre de moi).
À plus de 50 ans, cela fait bizarre de se dire qu’on a encore des choses à apprendre, certes, mais c’est aussi hyper motivant. En effet, cela donne surtout envie d’expérimenter de nouvelles techniques pour jouir plus (afin de devenir multi-orgasmique) et toujours plus fort (à travers des fontaines de plus en plus abondantes notamment) !
J’essaye d’ailleurs de convaincre mes amies de s’y mettre. Je fais maintenant partie de « la secte » des femme fontaines et j’en suis fière. lol Et vous, vous attendez quoi pour me rejoindre ? 😉
Le corps de Diane, 22 ans, a vibré durant plusieurs secondes
J’ai déjà eu des orgasmes en solitaire et avec mes ex mais, même si ces jouissances étaient très agréables (je ne peux pas dire le contraire), je ne suis jamais « tombée de ma chaise ». Dès lors, je ne me reconnaissais pas dans tout ce que je pouvais lire, notamment sur internet, au sujet des orgasmes féminins. Bref, j’enviais toutes ces femmes qui s’éclataient sous la couette.
En stimulant mon point G (enfin correctement), ce fut le jour et la nuit. C’est là que j’ai compris :
- d’une, que finalement, je n’avais jamais eu de véritables orgasmes.
- de deux, pour la première fois de toute ma vie, ce que cela faisait d’avoir un orgasme, un vrai de vrai. Comment je peux l’affirmer ?
Je n’avais jamais vu mon corps dans « cet état ». Chaque jet faisait vibrer mon corps. Mes jambes bougeaient, tremblaient. Je n’arrivais pas à me contrôler. On aurait dit que j’étais possédée. Évidemment, on était loin du film l’Exorciste, lol, mais j’avais vraiment l’impression de ne plus être moi-même.
Je ne vais pas vous mentir, j’ai un peu halluciné de me voir comme ça. On se pose forcément des questions mais vu que ce n’est que du bonheur, on se laisse très vite aller.
Au moins, avec l’éjaculation féminine, vu les effets d’un orgasme fontaine, on peut enfin voir la vérité en face. Et oui, finalement, on se rend compte que tout ce qu’on a pu vivre avant sexuellement, c’était peanuts. 😉
Anne-Laure, 40 ans, a pleuré « comme une conne »
Je n’ai pas peur de le dire : oui j’ai chialé ! Juste après ma première éjaculation féminine, j’ai senti les larmes monter. Je ne sais pas si c’est le trop-plein d’émotions dû à ce type d’orgasme (nouveau pour moi) mais cela m’a fait pleurer, comme une conne. J’étais là, toute nue dans ma baignoire, les cuisses trempées, en train de pleurer à chaudes larmes, des larmes de bonheur évidemment.
Cela peut paraitre dingue, je sais bien, surtout pour celles qui n’ont jamais éjaculé. Mais je vais être franche : ce que je vous rapporte là, je ne l’aurais pas cru si je l’avais lu sur internet ou ailleurs quelques mois auparavant. Comme quoi, il faut se bouger les fesses et tester soi-même. Ne restez pas les bras croisés à envier les autres, c’est le meilleur conseil que je peux vous donner.
Ayant par le passé eu beaucoup de difficultés à ressentir un réel plaisir durant mes rapports sexuels, je m’étais retrouvée à hurler, gémir comme jamais et à éjaculer. C’était presque trop, tout ça en si peu de temps. Je pense que cela a beaucoup joué sur mes émotions.
Je ne pleure plus depuis, je vous rassure, mais voilà ce que cela fait de devenir une femme fontaine. Cela chamboule ! On éjacule du corps et de l’esprit, ça c’est clair.
Tout le corps de Marlène, 39 ans, grelotait
Quand j’ai éjaculé, surtout la première fois, mon corps a eu de « drôles » de réactions, les éjaculations féminines me faisant tour à tour greloter, transpirer, « convulser ». C’était comme si mon corps passait par plusieurs « stades », des étapes nécessaires pour qu’il puisse s’acclimater à ces nouvelles sensations perturbantes. Jamais confrontée de toute ma vie à ce type de plaisir, mon corps se montrait lui aussi super surpris. Il réagissait alors violemment (et dans le bon sens du terme) à toutes ces nouvelles stimulations, perceptions, impressions.
C’est un peu comme lorsqu’on découvre une activité à sensations fortes, on est submergé par des émotions nouvelles, un pic d’adrénaline se produisant et entrainant des réactions incontrôlées (le rythme cardiaque augmente, la respiration s’accélère etc.). Ce qui est certain, c’est que je ne m’attendais pas à ça, vraiment pas !
Toute retournée, cela m’a donné envie d’une seule chose : poursuivre mon apprentissage afin de devenir encore meilleure et plus à l’aise avec mon corps, un corps qui continue de me surprendre et de me donner des orgasmes stupéfiants (et humides) !
Axelle, 22 ans, a eu l’impression de « mourir »
Je sais que c’est fou mais la toute première fois, ce fut si fort, si intense que je me suis sentie « partir ». C’est comme une petite mort entre guillemets. C’est comme s’il se passait quelque chose dans mes entrailles mais aussi dans mon sexe. J’avais l’impression que l’orgasme secouait chaque cm² de mon anatomie au point de me mettre à terre. Pas au point de m’évanouir mais je ne sais pas, c’est comme si mon cerveau se déconnectait durant l’orgasme fontaine d’où cette drôle de sensation de « mourir ».
C’est très paradoxal : cet orgasme fontaine m’a « tué » mais en parallèle, c’est comme si mon sexe s’était réveillé lors de cette éjaculation féminine. C’est là que je me dis que mon vagin et mon point G étaient vraiment endormis durant toutes ces années !
Squirter, c’est donc un peu comme un électrochoc sauf que les électrodes ne sont pas placées au niveau du cœur mais bien au niveau du vagin (et du point G). C’est revivifiant, revigorant. On se sent revivre. Je sais que cela peut paraitre fou mais c’est pourtant la réalité.
Toutes ces femmes ont un point commun
À travers tous ces témoignages, on se rend compte d’une chose : peu importe ce qu’elles ont ressenti au plus profond d’elles-mêmes, ce qui est sûr, c’est qu’elles ont été bouleversées et changées par cet orgasme. C’est ça le principal. Le fait d’éjaculer, ce n’est donc pas anodin. Cela va consolider « les fondations » de votre sexualité mais cela va aussi les (re)construire si jamais tout est à faire.
Mais alors, quel est le point commun de toutes ces femmes (nouvellement fontaines) ? Et bien c’est leur envie de recommencer encore et encore ! On devient vite accro à cette sensation physique (le fait d’éjaculer) mais aussi à ce que cela procure mentalement. C’est une vraie drogue vous verrez. Et en plus, cette drogue a un avantage, elle est sans danger. Vous pouvez donc en abuser ! 😉
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