L’orgasme fontaine, l’orgasme le plus puissant selon Valérie (et selon moi)
Il y a une question qui revient très souvent : quel est l’orgasme féminin qui donne le plus de plaisir ? Les gens s’interrogent afin d’être le plus efficace possible en ne visant qu’un seul type d’orgasme. Ils ne veulent pas se tromper et surtout ils veulent être aux yeux de leur partenaire le meilleur amant possible. C’est parfaitement légitime et c’est même tout à leur honneur.
Je peux les comprendre mais pour moi, quelqu’un qui se pose cette question fait fausse route. Pourquoi je vous dis ça ? On va en discuter ensemble. Dans tous les cas, je vais vous parler de l’expérience de Valérie, une femme qui a découvert le sujet des femmes fontaines à 45 ans. Il n’est donc jamais trop tard pour y goûter !
1 – Les éjaculations féminines, le gage d’un orgasme de folie ?
Le sexe, ce n’est pas du prêt-à-porter
Avant de vous dire si tel ou tel orgasme est le meilleur, j’ai envie que vous vous posiez quelques instants afin de voir les choses différemment. Réfléchissez bien, suivez mon raisonnement qui change tout, un raisonnement qui va aussi vous faire gagner un temps fou et vous éviter des prises de tête inutiles à partir d’aujourd’hui.
En fait, en voulant à tout prix savoir quel type d’orgasme féminin est le meilleur donc le plus orgasmique, on résonne mal. Pourquoi ? Tout simplement parce-qu’on essaye de trouver une solution qui conviendrait à la plupart des femmes voir à toutes.
Or votre partenaire n’est pas identique à votre voisine, à ses copines, à sa meilleure amie etc. Si les femmes ont beau être faites sur le même moule vu qu’anatomiquement, chaque sexe féminin est identique physiologiquement parlant, il ne faut pas oublier que leurs caractéristiques propres les rendent uniques !
Dès lors, essayer de faire du « prêt-à-porter » dans le domaine de la sexualité, c’est à dire essayer de vouloir faire jouir toutes les femmes d’une seule et unique manière, de les rentrer dans des cases et de vouloir à tout prix faire de toutes les femmes des femmes vaginales et/ou clitoridienne, c’est une grossière erreur.
Si vous n’arrivez pas à jouir avec votre clitoris mais plutôt avec votre point U ou si vous ne prenez pas autant de plaisir avec votre point G qu’avec votre (méconnu) A-spot (deepspot), ce n’est pas une question de normalité ou d’anormalité !
Reformulons cette question importante dans le cœur des hommes et des femmes
Pour faire simple, si je prends au hasard Caroline, Jessica et Aurélie, je sais qu’elles sont clitoridiennes, vaginales et fontaines. Je sais qu’elles peuvent aussi jouir avec le deepspot mais ce n’est pas pour ça qu’elles ressentiront toutes le même plaisir pour chacun de ces orgasmes.
Tous les orgasmes ne peuvent pas convenir à l’ensemble de la population car on est tous et toutes différents ! C’est aussi vrai pour mes techniques. C’est pour ça que j’en ai créé des dizaines pour chaque zone érogène, afin de coller à toutes les femmes !
Dès lors, où je veux en venir ? En fait, je vais répondre à la question qui vous intéresse, à savoir quel est l’orgasme le plus dingue mais je vais plutôt y répondre en reformulant cette question comme ceci : quel est l’orgasme le plus complet qui a plus de chances de faire jouir votre partenaire ou de vous faire jouir mesdames ? Je vais alors me baser sur les conclusions de Valérie, une femme de 45 ans. On va y revenir.
2 – Concrètement, pourquoi les femmes fontaines jouissent mieux et plus ?
Premièrement, vous vous doutez bien que je n’aurai pas créée une méthode dédiée aux femmes fontaines si selon moi, ce n’était pas l’orgasme ultime. Mais une fois qu’on a dit ça, on n’est pas plus avancé.
Déjà, et c’est un peu contradictoire mais il n’y a pas un orgasme meilleur qu’un autre car si on faisait un micro-trottoir en demandant quel est l’orgasme féminin le plus puissant sur un échantillon de 100 femmes, je suis certain que vous aurez des résultats très différents. Comme je vous disais, le plaisir, c’est subjectif donc c’est parfaitement normal.
Sauf que, oui, il y a un mais…
C’est avant tout anatomique
Si on se base sur les capacités purement anatomiques du corps féminin, il y a bien un orgasme qui est meilleur qu’un autre car il offre une palette de plaisirs inouïs déclenchés par la stimulation de zones bien particulières. C’est bien entendu le squirt, l’orgasme fontaine qui va créer une réaction en chaîne orgasmique.
Si je reviens sur mon micro-trottoir, peu de femmes citeraient le squirting car elles ne le connaissent tout simplement pas, toutes les zones du sexe féminin servant à cette éjaculation étant laissées de côté depuis bien trop longtemps.
Un orgasme fontaine, c’est un peu l’orgasme premium tout simplement parce-qu’on met le doigt sur le point G à savoir la prostate féminine.
Cette prostate est composée des glandes de Skene (du nom du Docteur Alexander Skene qui les a découvertes) ou glandes para urétrales, des glandes qui ont d’ailleurs le même précurseur embryonnaire que la prostate masculine, le point P masculin.
Les sensations procurées par cet orgasme sont d’autant plus folles que ce point G, je dis souvent qu’il fait comme les ours, il hiberne. Sauf que lui, cela fait bien trop longtemps qu’il fait dodo dans sa grotte !
C’est aussi pour cette raison que réveiller un point G, cela a des conséquences dingues ! Mais c’est aussi l’orgasme parfait car c’est un orgasme qui nous permet de jouer sur plusieurs tableaux.
Le squirt = l’orgasme parfait
Et oui, c’est aussi le meilleur :
- car on titille l’urètre donc le méat urinaire donc le point U, l’éjaculat étant libéré par ce canal. Beaucoup de femmes ont des orgasmes de l’urètre surpuissants donc là encore, l’éjaculation féminine va effectuer une pression sur l’urètre. On multiplie alors les types de stimulation.
- parce-qu’on stimule aussi indirectement le clitoris car quand on stimule le point G, donc l’éponge para-urétrale, il y a bien une influence sur le clitoris, ce dernier étant connecté à cette éponge para-urétrale (par les bulbes du vestibule) donc interconnecté avec le point de Gräfenberg, CQFD !
- parce-qu’on fait travailler les merveilleux et peu connus muscles PC. En les contractant, vous allez éjaculer certes mais vous allez aussi pendant la pénétration du pénis notamment (mais aussi des doigts) emmitoufler ce qui se trouve dans votre vagin. Dès lors, si c’est un pénis par exemple, il sera encore plus en contact avec le point G mais aussi avec l’ensemble des parois du vagin. Vous allez donc stimuler l’ensemble du sexe féminin et ça c’est juste excellent ! Merci les exercices de Kegel !
- parce-que parler de squirt, c’est aussi s’obliger entre guillemets à mettre un point d’orgue à faire de bons et longs préliminaires, plus poussés afin de faire gonfler le point G. On fait alors mille fois plus attention au corps féminin dans son entièreté. C’est donc aussi un bon moyen de rajouter une couche de plaisir entre guillemets avec la potentialité de faire jouir votre femme en stimulant des zones érogènes secondaires. Et oui c’est possible, j’en parle sur mon blog !
Faire éjaculer ou éjaculer seule, cela va donc beaucoup plus loin que ce que l’on pense. Vous comprenez donc pourquoi vous allez prendre une sacrée claque en pleine tronche mesdames quand vous allez éjaculer.
Dès lors, éjaculer mesdames ou faire éjaculer votre copine messieurs, on ne le fait pas juste pour le plaisir de devoir changer la housse de couette ou les draps, ce n’est pas la raison première. Il y a bien un but, un objectif, à savoir embraser le corps féminin de toutes parts ! Je vous encourage donc à vous jeter à corps perdu dans cette quête de l’éjaculation féminine.
L’histoire de Valérie va vous convaincre…
3 – Valérie, son témoignage, ses conclusions
Pourquoi j’avais envie de vous parler de Valérie ? Vous ne le savez peut-être pas mais au moment où je vous parle, j’ai 35 ans et il y a quelques temps de ça, j’ai fait la rencontre de Valérie, une femme de 45 ans. Pour être franc avec vous, c’était juste sexuel, le plan cul d’un soir comme on le définit. C’était le petit coup de foudre physique mais uniquement coquin, rien de sérieux.
Bref, je vous passe les détails du pourquoi de cette attirance mais si je voulais absolument vous parler de Valérie, c’est pour deux raisons :
- de part son âge, 45 ans, donc en théorie avec une certaine expérience, cette femme ayant eu le temps d’explorer sa sexualité.
- de part ses réactions vis-à-vis de son éjaculation féminine qu’elle a découvert avec moi au bout de notre deuxième « nuit d’amour ».
45 ans, l’age de la maturité pour jouir et éjaculer ?
Quand on fait l’amour avec une femme dans la quarantaine et qu’on a 35 piges, on se dit qu’on va avoir affaire à une personne qui en connait un rayon sur sa sexualité. C’était le cas. Sans rentrer dans les détails pour ne pas vous faire un résumé minute par minute de mes galipettes, elle guidait ma bouche, mes doigts… et ce à la perfection. Elle savait ce qui lui faisait du bien (positions…) donc le mode étoile de mer à attendre que l’homme fasse tout, très peu pour elle. Elle n’était donc pas de celles qui ne connaissent pas leur corps et pourtant…
Et oui, quand je lui ai parlé de squirting, elle a sourit et elle ne m’a pas cru. Elle était même assez hermétique quand je lui parlais de point G, d’éjac féminine… J’avais beau aborder tous ces sujets sans bafouiller, sans bégayer, avec une sureté dans mes propos, j’avais du mal à titiller sa curiosité. Elle avait beau avoir la quarantaine, elle ne connaissait pas tout sur tout de sa sexualité.
Valérie, un bon exemple de la femme qui reste dans sa zone de confort
Et oui, Valérie est un « cas » super intéressant et c’est pour ça que je mets le doigt dessus. Quand on a passé des années à jouir d’une certaine manière, on ne croit plus à grand chose sauf à ce qu’on connait ! On en devient presque trop sûr(e) de soi au point de ne plus s’ouvrir à des plaisirs inconnus. On reste donc dans sa zone de confort. Ce n’est pas qu’on ne voudrait pas en sortir, c’est juste qu’on ne sait pas qu’on peut le faire. On est resté tellement longtemps dans cette zone de confort qu’on est persuadé qu’il n’y a rien d’autre au-delà du mur.
Dès lors, la faire sortir de sa zone de confort allait être difficile. En effet, je me rappelle d’une phrase qu’elle avait pu me dire, une phrase qui en aurait découragé plus d’un. Elle m’avait dit texto : « je ne demande qu’à être épatée… » avec le petit froncement de sourcil qui ne présage rien de bon. Vu sa réaction, la tâche allait être rude.
Dès lors, j’analyse toujours les choses calmement. Quand ma partenaire n’est pas ultra intéressée par ce que je lui raconte (en l’espèce le sujet de l’éjaculation féminine), c’est une preuve :
- que personne ne l’a jamais fait jouir de la sorte.
- qu’elle n’a jamais eu de tête à tête avec son point G. C’est si vague que c’est trop beau pour être vrai…
- qu’elle a des aprioris sur quelque chose qu’elle ne connait pas encore mais c’est normal, cette méconnaissance rime avec craintes/peurs donc forcément, franchir le cap n’est jamais simple. Valérie était calée question clitoris mais pour le reste, c’était une vraie novice malgré son âge. En fait, elle n’avait jamais osé et c’est bien dommage car en n’osant pas, on reste justement en tête à tête avec ce qu’on connait (trop) bien (son clito). Au final, il n’y a rien de pire pour rentrer dans une routine sexuelle tout sauf excitante !
- que j’ai un boulevard devant moi pour lui faire du bien !
- que si cela rentre par une oreille, cela ne ressort en général pas par l’autre. L’absence d’intérêt est rare. On implante toujours une petite graine dans le cerveau de sa partenaire même si elle ne prend pas immédiatement.
Dès lors, expérience ne rime pas avec omniscience. On en apprend donc à tous les âges.
On en apprend tous les jours sur sa propre sexualité
A 18, 30 ou 50 ans, vous pouvez apprendre à jouir ou à faire jouir. Il n’y a pas de prérequis, c’est surtout ce point précis que je veux mettre en exergue ici avec le cas de Valérie, plus habituée avec son clitoris qu’avec son point G. Oui vous pouvez atteindre ce super orgasme à tous les âges. Oui, vous allez pouvoir y arriver seule ou avec votre partenaire. Et non, vous n’avez pas besoin d’être un ou une as sous la couette pour vous lancer. Soyez vous-même avant tout !
Et vous savez quoi, ne pensez pas que cela peut être plus difficile de donner un orgasme à une femme qui ne connait pas certaines zones érogènes de son corps comme son point G. En effet, c’est parfois même plus facile car vous partez de zéro donc c’est un point G souvent plus « malléable » une fois qu’on l’a réveillé. Il est plus chatouilleux entre guillemets donc chez certaines femmes, c’est un avantage !
Les « ce n’est pas possible », les « je n’y crois pas » avec la mine déconfite et interloquée, cela ne doit jamais vous décourager ! C’est qu’il y a tout à faire et ça, c’est génial. C’est aussi pour cette raison que je vous parle de Valérie. Valérie, c’est vous mesdames et c’est votre copine messieurs. Elle n’était pas ignorante, inculte en matière de sexualité, bien au contraire et pourtant il lui restait tant de choses à apprendre !
Moi, je trouve ça génial de savoir qu’on peut enseigner, transmettre un savoir à celle avec qui on partage un moment coquin. C’est juste le pied !
Pour en revenir à Valérie, challenge accepté encore une fois ! J’allais alors lui faire atteindre un état orgasmique qu’elle n’imaginait même pas ! Je l’ai secoué comme un Orangina, le corps mais aussi l’esprit…
Elle a perdu connaissance une poignée de secondes…
Les bonnes techniques, la clé de votre succès
Durant cette deuxième nuit d’amour, j’ai utilisé deux techniques spéciales squirting. Son point G n’a pas résisté. Avec de longs préliminaires et une bonne stimulation de son clitoris, un clito dont elle raffole, il m’a fallu quelques minutes pour qu’elle ait un orgasme mais surtout pour qu’elle ne reconnaisse plus du tout son sexe. Elle a fait les gros yeux quand elle a vu un liquide couler entre ses jambes. C’était encore assez soft. Elle reprend ses esprits puis je recommence.
Valérie voit et sent alors physiquement qu’il se passe un truc. Elle m’écoute plus attentivement et elle effectue un exercice de Kegel au bon moment. Et là, ce ne sont plus quelques gouttes qui trempent ma main. La fontaine est juste énorme, continue, à tel point qu’elle s’élève à un petit mètre dans les airs. Ses cuisses, mon bras, ses seins et tout les draps sont recouverts. Même la moquette se retrouve humidifiée…
Pourquoi ce fut si simple ? Tout simplement parce-que la preuve est la meilleure des alliées. Voir, c’est croire. Et Valérie a vu donc elle a ouvert les vannes (physiquement et mentalement) pour jouir et éjaculer. C’est aussi pour cette raison que mes techniques sont intéressantes car vous pratiquez, vous avez des résultats. Dès lors, ne pas jouir à 20, 30, 40, 50 ou 60 ans, c’est avant tout une question de manque de savoir-faire et ça, c’est facile d’y remédier.
Sauf souci physiologique, arrêtez de croire que l’orgasme n’est pas pour vous mesdames ou que vous n’êtes pas à la hauteur messieurs pour donner du plaisir. Non, c’est juste que vous vous y prenez comme un manche. Je le sais car moi aussi j’étais loin d’être au top il y a quelques années. Et aujourd’hui, j’impressionne sexuellement des femmes qui ont 10 ans de plus que moi. A qui le tour ? 🙂
Les nerfs ont lâché…
Et vous savez quoi ? Je ne sais pas si c’est son corps qui n’a pas pu résister à toute cette tension qui s’est libérée (de son point G) mais son cœur a dû s’emballer et elle s’est évanouit. Vous me croirez ou non, je n’ai pas la preuve en vidéo mais elle a dû faire comme un petit malaise vagal. Cela a duré quelques secondes mais cela impressionne de voir une femme tomber dans les pommes. Pour être honnête, ce n’est pas la première fois mais quand c’est une nouvelle conquête qu’on ne connait pas vraiment bien, on peut vite avoir un coup de chaud.
Le plus impressionné, ce fut elle car elle a redécouvert sa sexualité. C’est un peu comme si elle avait fermé les yeux sur tout un pan de sa sexualité durant tant d’années puis un jour, elle découvre qu’elle peut éjaculer, qu’elle peut jouir plus et plus fort. Tout le reste, tout ce qu’elle a connu avant semble alors bien fade. On n’en ressort pas indemne. Je pense que cela change une vie car la sexualité est essentielle dans un couple. Et même en solitaire, on ne peut pas faire sans. Chez Valérie, grâce au squirt, elle a pu écrire une nouvelle page de sa vie sexuelle.
D’ailleurs, ce soir-là, elle a du éjaculer 5 ou 6 fois. Elle en redemandait encore et encore. Et la suite alors ? Et bien, depuis, c’est devenue une pro de la fontaine. Ce n’est plus la même et c’est elle qui le dit. Il y a un avant et un après car c’est comme découvrir un autre monde encore inexploré. Car oui, quand on découvre son point G, il y a encore tant à découvrir : deep spot…
Le meilleur orgasme ?
Oui, pour Valérie c’est bien le cas. Elle n’a jamais été frustrée sexuellement avec ses ex partenaires mais là, elle a mis les deux pieds dans un autre univers, une dimension parallèle. En éjaculant, c’est comme si elle accouchait d’un orgasme. Le fait d’expulser un liquide, le fait de le voir mais surtout de le sentir sortir, cela rend l’orgasme encore plus intense. C’est comme une éjaculation masculine mais puissance 1000 en quelque sorte.
Aujourd’hui, plus elle pratique et plus elle sent que cette sensation la rend complètement folle, comme si elle avait quelque chose de vivant en elle, quelque chose qui lui chatouillait tout le sexe avec ce besoin d’être éjecté, une vraie cocotte minute.
Je suis toujours impressionné de voir ce que les femmes ressentent durant le squirt et comme elles décrivent cet orgasme.
Elle se sent vivante, elle se sent renaitre après chaque squirt. Cela bouillonne, cela grattouille, c’est là, au-dessous de la ceinture. Cela la contrôle, cela la transcende. Tout ce qu’elle a pu connaitre jusqu’ici n’est rien comparé à ça. Elle le dit elle-même et elle a bien raison : il faut le vivre pour le croire.
On enfante un orgasme quand on éjacule. Je l’ai toujours pensé en écoutant les avis de mes copines. Cet aspect, je le développerai d’ailleurs dans ma méthode.
L’avis de Valérie me conforte dans cet idée : l’éjaculation féminine, c’est bien plus qu’un orgasme. Le corps se vide mais l’esprit fait aussi de même.
On ne connait pas sa sexualité tant qu’on n’a pas goûté à la fontaine, c’est le mot de la fin de Valérie.
Je pense que son témoignage va vous donner envie d’en savoir plus. A vous maintenant de faire de cet orgasme l’orgasme le plus puissant de votre vie !
Amicalement,
Nicolas