Le témoignage de Valentin sur ma formation (point G/squirting) (Épisode 1)
Quand je parle de ma méthode pour faire jouir les femmes, beaucoup d’entre-vous se posent très certainement des questions sur l’efficacité de ce guide vidéo pour donner des orgasmes féminins.
Dès lors, quoi de mieux qu’un « cas pratique grandeur nature » ! Je vais alors vous parler de Valentin* et de sa copine Nadia*, tous les deux 23 ans.
On va suivre sur plusieurs semaines (voir plus) l’évolution de leur relation intime grâce à l’utilisation de mes techniques, de mes conseils. Cela va être super intéressant. Ce qui est certain, c’est qu’en voulant apprendre à faire éjaculer sa copine, cela a ouvert à Valentin de nombreuses portes sur la sexualité féminine, chose qu’il n’avait pas imaginé un seul instant !
Dans cet article, je laisse le témoignage de Valentin brut de décoffrage, son témoignage entre guillemets pour que vous sachiez que c’est lui qui parle. On a d’ailleurs discuté de pas mal de choses dans son premier mail donc j’ai dû réorganiser ses pensées, ses constatations (sans les retoucher) pour une fluidité de lecture. Je vous dis ensuite ce que j’en pense afin que cela puisse vous servir.
En tout cas, vous allez le voir à travers son témoignage, Valentin comprend bien que son couple a du potentiel mais que pour ce faire, il doit passer à l’action. La plupart des hommes devraient prendre exemple sur lui malgré son jeune âge.
Allez, je lui laisse la parole.
Une petite amie qui a besoin d’être écoutée
Un manque de communication classique (pas forcément volontaire)
« Pour planter le décor, nous sommes pour le moment loin l’un de l’autre. Je la vois donc peu souvent en ce moment. J’aimerais vraiment lui donner le maximum, surtout que selon moi, la prochaine rencontre sera un peu décisive dans notre relation.
Nous parlons de sexe plutôt de manière gênée en tournant autour du pot et seulement après avoir fait l’amour, un peu comme des enfants en quelque sorte. Je pourrais donc dire que oui, le sexe est tabou chez elle.
J’ai bien compris à travers votre blog qu’une femme doit se masturber seule pour se découvrir. Le fait-elle de son côté ? Si je lui pose la question, je pense justement qu’elle ne me répondra pas. J’aurai très certainement une réponse négative mais peut-être qu’elle aura alors un déclic si je lui en parle et qu’elle se masturbera ensuite sans me le dire. C’est un point d’interrogation.
J’ai en fait un peu peur que trop de discussion et de technicité pendant l’acte, en se détachant de son corps, ne lui coupe totalement l’envie et qu’au final, cela bloque son orgasme. »
Ce que j’en pense
Il faut « parler de cul » entre vous !
Valentin ne parle pas suffisamment de sexe avec Nadia donc forcément il s’installe des non-dits, des croyances sur ses ressentis, ses émotions, ses besoins durant l’amour.
La communication n’est pas accessoire. Parler avec l’autre, c’est savoir ce que pense/veut l’autre afin d’être guidé dans la bonne direction mais aussi de guider l’autre sur des chemins qu’il ne connaissait pas. Chacun peut en effet aider l’autre à évoluer mais sans communication, il vous sera impossible de faire passer les infos et surtout les bonnes. Votre partenaire ne lit pas dans vos pensées et vous non plus d’ailleurs.
Je sais que ce n’est pas toujours évident, l’absence de communication pouvant être la résultante de nombreux facteurs : tabous, incompréhension, manque de confiance en soi pour aborder le sujet etc. On voudrait bien faire mais on ne le fait pas : on ne se pose pas les bonnes questions, on reste dans sa routine etc. Il faut cependant y remédier. Vous ne pouvez pas faire autrement.
Communiquer pour comprendre ce qui ne va pas
Ici, Valentin ne peut pas comprendre les réelles attentes de sa partenaire qui ne peut donc pas extérioriser ce qui va et ce qui ne va pas à son niveau mais aussi au niveau de son couple. On garde en soi ses appréhensions, ses peurs, ses craintes et au final on se freine car on ne veut pas s’y confronter.
Valentin a bien compris que la sexualité, c’est la pratique, la découverte de soi pour justement combattre des blocages qui empêchent la survenue de l’orgasme. Or, il le sait mais sa copine ne le sait pas. Il faut qu’il lui transmette ce qu’il sait et pour ça, il faut discuter, c’est la clé.
J’en mets ma main à couper qu’en étant le déclencheur d’un échange constructif sur leur sexualité, et ce sans tabou, sa copine va avoir un déclic, le déclic qu’elle peut lâcher prise. Je peux vous assurer que l’orgasme féminin ne tient qu’à un fil donc à pas grand chose pour qu’il se décoince (et se produise).
Une petite amie qui demande à être guidée
Un manque d’écoute de son propre corps
« Ma copine n’aime pas s’attarder sur les préliminaires, non pas qu’elle n’aime pas ça et qu’elle n’en jouisse pas mais il y a un moment où elle veut arrêter et passer à la suite (elle a très peu d’expérience).
D’ailleurs elle prétend que son premier orgasme est le plus fort et que les suivants sont moindres. Elle ne veut donc pas le « gâcher » si tôt dans l’acte à cause des préliminaires.
Par exemple, lorsque je la masturbe au niveau du clitoris, elle jouit mais il y a un moment où elle serre les jambes et m’enlève rapidement la main pour que j’arrête (et donc que je passe à la pénétration). Elle me dit que c’est parce-qu’à ce moment précis, elle reçoit trop d’informations sensitives, que c’est trop fort en stimuli pour son cerveau et qu’elle sent qu’elle va exploser.
Comme vous le dites, je pense qu’elle n’a jamais vécu d’orgasme à proprement parler quoique parfois, lorsqu’elle me chevauche, elle crie de plaisir et contracte complètement ses cuisses de manière involontaire. Je n’en sais trop rien vu que je n’ai moi-même pas trop d’expérience. »
Ce que j’en pense
Tout cela ne m’étonne pas. Beaucoup de femmes ont du mal à analyser les infos que leur renvoie leur propre corps pendant l’acte sexuel. Et quand elles essayent, elles passent totalement à côté. Cela s’explique par un manque de connaissance de leur propre anatomie. On en revient à ce que je répète à longueur de temps : une femme doit se masturber en solo pour savoir ce qui lui fait du bien et pour prendre le temps de comprendre comment avoir des orgasmes. Cela n’est pas plus compliqué que ça. Au moment de la relation sexuelle à deux, il est trop tard pour s’en préoccuper.
C’est le problème avec Nadia qui a du mal à lire entre les lignes de sa propre sexualité. Elle ne met pas l’accent sur les préliminaires qui préparent le sexe féminin à la pénétration justement. Elle grille les étapes.
Et pire, elle se prive de ses orgasmes qui sont à portée de main. Le fait d’arrêter l’acte net alors que l’orgasme arrive est synonyme d’un besoin (conscient ou inconscient) de tout contrôler. Or un orgasme se vit, il ne se contrôle pas. Elle stoppe donc son orgasme dans sa lancée. Elle se contracte comme si elle refusait son orgasme. C’est donc normal qu’elle ne jouisse pas. Mais pourquoi fait-elle ça ?
Elle ne s’écoute pas vu qu’elle est un peu perdue n’étant pas en capacité de répondre à la question : c’est quoi avoir un orgasme. Elle ne sait pas reconnaitre les signes avant-coureurs de son orgasme. Ce n’est donc pas étonnant qu’elle fasse fausse route et qu’elle dise elle-même non à l’orgasme par crainte de se laisser aller, pas entre les mains de son homme en qui elle a confiance mais vis-à-vis d’elle-même qu’elle ne connait pas par manque d’expérience et de confiance en elle.
Ce raisonnement peut paraitre dingue et alambiqué et pourtant…
Sans travail, on ne peut pas avoir d’orgasmes (et les enfanter)
Mesdames, il faut bosser votre anatomie
« En ce qui concerne les points de jouissance (zones érogènes), je doute fortement qu’elle en ait connaissance. Comme précisé précédemment, elle n’a eu qu’un partenaire avant moi. Elle a donc peu d’expérience et beaucoup de croyances. Pour elle, le sexe est très sensuel : beaucoup de corps-à-corps et des positions avec beaucoup de contact physique.
C’est vrai que je suis plus « chaud » qu’elle, enfin, c’est ce qu’elle veut se faire croire. Je pense en effet que chaque femme aime le sexe mais que chacune a son niveau d’inhibition (cf son éducation). Elle n’est pas trop dans la technicité mais plus dans la fusion et le désir mutuel. Je trouve ça génial car cela montre une extrême sensibilité et je pense pouvoir utiliser cette qualité pour décupler son plaisir avec « ma » technicité apprise via votre méthode.
J’en ai déjà fait l’expérience après avoir lu votre blog et je vois que je suis capable d’allier les deux (votre technique des cornes de taureau mais de manière allongée avec elle, sensuellement, peau contre peau, tout en la stimulant). »
Ce que j’en pense
La sensualité fait partie intégrante de la relation sexuelle mais il y a un mais. Pas mal de femmes gardent la sensualité pour elles et la technique pour les hommes. C’est « messieurs, à vous de nous faire jouir, au boulot ». Elles se plantent avec beauté en pensant comme ça !
Mesdames, comme je vous le disais, la découverte de votre corps est juste essentielle. Vous ne pouvez pas juste faire l’étoile de mer pendant l’amour en espérant que votre homme saura comment trouver et stimuler votre point G (mais pas que). Il faut agir mesdames et mesdemoiselles et cela passe par une connaissance parfaite de votre anatomie. C’est de cette manière que vous pourrez utiliser mes techniques de la bonne manière. Trop de technique comme peut le penser Valentin ne tue pas la technique. Au contraire, c’est de cette manière qu’on sait comment atteindre l’orgasme justement.
On voit bien que Nadia pense que le sexe, c’est de la complicité et que s’il y a complicité il y aura naturellement des orgasmes. Or ce n’est pas comme ça que cela marche. No pain no gain comme on dit ! Il faut bosser de votre côté mesdames, de votre côté messieurs pour ensuite bosser à deux. La passivité dans le sexe est synonyme d’échec, croyez-moi !
Manque de confiance et sexe ne font pas bon ménage
Une jolie jeune femme qui a besoin d’être rassurée
« Elle n’aime pas être regardée pendant l’acte (et pourtant elle est sublime). Ma petite amie n’aime pas non plus que ça dure trop longtemps. J’en suis bien conscient, elle manque énormément de confiance en elle dans la vie de tous les jours (et pas qu’au lit). »
Ce que j’en pense
Valentin me l’a répété plusieurs fois, Nadia manque de confiance en elle. C’est flagrant et ce n’est pas une question de physique. Le plus souvent, c’est le manque d’expérience qui joue sur la confiance car quand on ne sait pas, on ne peut pas se laisser aller donc lâcher prise. Et vous savez quoi ? L’orgasme a besoin de ce lâcher prise pour se produire !
Nadia est capable de tout sexuellement, il faut juste qu’elle en prenne conscience ! Elle a tout ce qu’il faut pour devenir une Wonder Woman du sexe ! Et c’est évidemment aussi valable pour vous mesdames ! Comme le dit le proverbe, c’est en forgeant qu’on devient forgeron. Dans le sexe, c’est en pratiquant (et en étudiant) qu’on a des orgasmes car c’est en pratiquant qu’on constate ses progrès, une augmentation du plaisir, une meilleure connaissance de son sexe donc de sa capacité à jouir. Le « moi aussi je peux y arriver », il n’y a rien de mieux pour forger cette confiance en soi justement. Savoir qu’on est capable de, cela fait tellement de bien !
Comment la rassurer ? Elle le sera en affrontant son sexe et la technicité de son anatomie si je puis m’exprimer ainsi. Ce manque de connaissance de sa propre sexualité déteint sur le reste, sur son mental, son moral donc sur sa confiance en elle surtout pendant l’acte. C’est un cercle vicieux durant la relation sexuelle mais aussi dans sa vie de tous les jours.
La bonne nouvelle, c’est que cela se règle très facilement et ce en prenant le temps de mieux connaitre son propre sexe. Il n’y a pas de recette miracle, il faut se mettre un bon coup de pied au derrière et passer à l’action !
Les objectifs de Valentin avec ma méthode
Son plan d’action
Des orgasmes pour combler sa partenaire mais surtout pas pour l’épater
« Grâce à votre formation, j’ai bien compris que les préliminaires n’étaient pas synonymes d’orgasmes mais qu’ils servaient surtout à faire rentrer le point G en érection afin de pouvoir bien le stimuler par la suite et amener à l’orgasme.
De plus je vais revoir ma façon d’aborder le début de l’acte sexuel. Je vais amener petit à petit, avec assurance, une discussion légère sur tout ce que j’ai appris grâce à vous. J’espère pouvoir la faire éjaculer dans les prochains mois, car si ça se finit entre nous, je ne pense pas qu’elle soit amenée un jour à connaître ce plaisir.
Je ne pense pas qu’un autre homme aura la patience et la conviction de faire ça pour elle et ça serait vraiment dommage. C’est une fille que je chéris beaucoup. Cela me fait un peu de peine au fond de constater toute cette inhibition en elle. Elle mérite de jouir. »
Un homme qui ne pense pas qu’à lui
« Bien sûr, je ne compte pas utiliser vos techniques pour lui en mettre plein la vue. Je veux avant tout que notre prochaine rencontre se passe au mieux. J’aimerais toujours avancer sur le côté pratique/technique pour lui faire prendre confiance en elle afin qu’elle se lâche avec moi (ce qui renforcerait notre couple). J’ai confiance en ma capacité à lui faire découvrir un nouveau penchant pour la sexualité et lui faire adorer ça par la même occasion.
Je vais faire en sorte de lui parler de sexe plus librement car il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas en parler plus posément.
J’aimerais alors tenter de la faire éjaculer avec les doigts mais aussi avec la seule pénétration du pénis car elle n’a jamais éjaculé mais aussi eu de vrais orgasmes de cette manière. J’en suis sûr à 100%. Comme je vous l’ai dit, avec son premier petit copain et seul ex, ça n’avait rien de fou. J’aimerais donc lui faire découvrir ce plaisir afin de la mettre plus à l’aise avec sa sexualité. »
Ce que j’en pense
Il faut se sortir les doigts du cul pour faire jouir sa partenaire
Valentin a bien compris, après avoir fouillé sur mon blog et après avoir juste effleuré certains des modules de la zone membre de ma méthode, qu’il allait devoir bosser :
- la communication qui induit la confiance et l’abandon (le laisser-aller, le lâcher prise : la base pour jouir et éjaculer).
- les préliminaires à l’origine de l’excitation progressive du sexe féminin (et du cerveau féminin, tout est lié) donc du déclenchement de l’orgasme.
- l’aspect technique et anatomique (évidemment) à son niveau mais aussi au niveau de sa partenaire car sans ça, on ne peut pas atteindre les bonnes zones érogènes (si on ne sait pas où elles se situent) et les stimuler de la bonne façon (donc avec les bonnes techniques).
Tous ces aspects sont liés ! Valentin a surtout compris qu’il ne fallait pas rester les bras croisés et qu’il se devait d’agir pour se donner les moyens de donner les plus beaux orgasmes qui soient à sa petite amie.
Peu importe votre âge, on doit toujours apprendre en ce qui concerne la sexualité. Il l’a bien intégré. Et oui, il faut juste s’y mettre et ne pas attendre un miracle. Il agit et ça c’est beau !
Valentin a pris le recul nécessaire, et vous ?
Valentin a bien analysé la situation de sa partenaire. Il s’est intéressé à son passé mais pas que. Il est à l’affût de ses réactions, de son comportement durant la relation sexuelle et surtout, encore une fois, il n’attend pas que cela se passe. Action, réaction ! Bravo à lui !
Voilà une petite amie qui a de la chance d’avoir un mec comme lui. Tous les hommes devraient en prendre de la graine ! Bienveillance, écoute, capacité à ne pas rester ego-centrer sur son nombril, son pénis et son plaisir, voilà un bon résumé de ce qu’il faut pour bien faire l’amour à une femme.
À voir maintenant comment cela va évoluer avec la mise en pratique de ma méthode. Dès que j’ai des news, je ne manquerai pas de vous en faire part. La suite au prochain épisode. 🙂
* Les prénoms et toutes les informations personnelles de ce couple ont été modifiées afin de garder leur anonymat.