Le parcours de Valentin vers la découverte du point G et de l’éjaculation féminine (épisode 2)
J’ai donc eu des nouvelles de Valentin* et de sa copine Nadia*. Cela va me permettre de vous raconter la suite de leurs aventures (l’épisode 1 est ici) concernant la découverte du point g, du squirting (éjaculation féminine) et des orgasmes dans leur globalité. C’est donc notre épisode 2. 😉
Dans cet article, je laisse, de la même manière que dans le précédent, le témoignage de Valentin tel quel, son témoignage entre guillemets pour que vous sachiez que c’est lui qui parle. Ensuite, je vous donne mon ressenti afin que vous puissiez tirer le meilleur de ce témoignage et l’appliquer à votre situation afin de grandir sexuellement.
Une cartographie du sexe féminin, cela change tout !
Avoir ou ne pas avoir un plan du sexe de sa partenaire, c’est le jour et la nuit !
« Pour rentrer dans le vif du sujet, pour le moment, je n’ai pas abordé avec elle le thème de l’éjaculation féminine. J’ai plutôt cherché à être à l’écoute de ce qu’elle ressentait. Cela m’a permis de comprendre à quoi elle était la plus réceptive, au niveau du rythme, de l’intensité et des gestes.
J’ai également pu mettre en relation vos vidéos avec son anatomie. J’en apprends beaucoup et j’apprécie d’ailleurs le côté scientifique, anatomique que vous apportez au sujet. J’ai donc réussi à mieux cartographier son vagin ce qui m’est d’une grande utilité. J’ai donc bien saisi où était situé son point G et comment le stimuler. C’est important car j’ai pu aborder également la pénétration d’une meilleure manière.
Je pense que vos vidéos sont d’utilité publique et devraient être enseignées à l’école dans ces fameux cours d’éducation sexuelle. Je me sens donc chanceux d’avoir pu accéder à votre contenu !
Petit détail technique : j’ai également remarqué que lorsqu’elle est excitée et quand je suis en train de faire la géniale technique des cornes de taureau, la partie antérieure de son vagin se voûte et devient complètement concave et lisse. Il se creuse vers le haut. Je sens alors son point G se gorger. C’est un peu comme la sensation de toucher le palais d’une mâchoire humaine. Je ne l’avais pas remarqué avant d’où l’intérêt de tous les détails que vous donnez sur le point G. C’est très didactique et pratique. »
Ce que j’en pense
Je ne le répèterai jamais assez, vous aurez beau essayer toutes les techniques de masturbation/pénétration possibles et imaginables, si vous ne connaissez pas le vagin et la vulve de votre partenaire, cela ne marchera pas. Ne pas savoir comment est structuré, construit le sexe féminin, cela explique pourquoi beaucoup d’hommes et de femmes ne comprennent rien aux orgasmes féminins. Il ne faut pas chercher plus loin.
Tant que vous n’aurez pas travaillé le sujet de l’anatomie féminine, vous serez aussi perdu qu’un aveugle qui cherche son chemin dans une ville qu’il ne connait pas. L’image est forte mais c’est pourtant la réalité.
Le changement de paradigme de Valentin sur la sexualité
Un peu de chronologie…
« J’ai remarqué un détail. Au début de notre relation, cela a pris facilement deux mois avant qu’elle accepte de se faire doigter. Elle n’était d’ailleurs pas trop à l’aise avec ça et elle me faisait signe d’arrêter et de passer à la suite. Je crois que c’est parce-qu’elle ne se contrôlait pas, ne se connaissait pas, et que même si ça lui faisait du bien, elle préférait ne pas s’éterniser voyant que ça ne lui procurait pas autant de plaisir que l’acte en lui-même. Elle me répétait qu’elle n’aimait pas quand l’acte sexuel durait trop longtemps alors qu’on ne dépassait pourtant pas les 20 minutes…
Bref, j’étais donc un peu frustré et je pensais même qu’elle le faisait en s’obligeant, pour me faire plaisir, voulant finir cela le plus rapidement possible. Pour ma part, je n’avais pas l’expérience suffisante pour savoir ce que je faisais réellement et comment tout cela fonctionnait. Je me contentais de répéter les mêmes gestes, les mêmes positions qui lui faisaient de l’effet. De plus je n’étais pas dans le moment présent. Je recherchais la performance mais je n’étais pas satisfait (elle non plus d’ailleurs). Bref cela faisait un mauvais mélange (des deux côtés), ce qui ne faisait pas avancer les choses !
J’ai pris du recul, j’ai ressassé tout ça et je me suis dit que cela ne devait pas être une fatalité. Je suis donc parti en quête de techniques. Le problème est que tout ce que je voyais dans le porno (pro et amateur) ainsi que dans d’autres formations ne me convenait pas. Cela n’était jamais bien expliqué et au final, je n’apprenais pas grand chose.
Je suis donc tombé sur votre formation et ayant vu votre vidéo d’introduction, je me suis laissé tenter. »
Il faut prendre et donner confiance en soi pour faire jouir !
« Voulant à tout prix me prouver, et lui prouver, que l’on pouvait jouir autrement que par la seule pénétration du pénis, votre formation m’a permis de commencer à réfléchir sur le sujet, de prendre le recul suffisant et d’aborder autrement l’acte, notamment au niveau psychologique.
Puis dès lors que j’ai commencé à prendre de l’assurance, tout a basculé. En lui faisant voir que je n’hésitais plus sur mes gestes quand je lui faisais l’amour avec ma main, et que j’étais là pour lui donner du plaisir, tout a commencé à changer. Elle aussi a pris confiance en elle. Aujourd’hui, elle se lâche de plus en plus. Je le vois, je le sens. C’est vrai qu’il y a toujours ce problème de l’inconnu la concernant (de part son manque d’expérience), ce qui fait qu’elle n’ose pas toujours aller plus loin dans sa jouissance et ce par pudeur. On va travailler tout ça ensemble, il y a encore du boulot mais je suis déjà hyper satisfait car je vois que je suis sur la bonne voie. »
Un cap de franchi pour lui et pour elle !
« Après avoir étudié votre contenu, je peux donc vous dire que j’ai de nouveau passé un CAP (c’est le cas de le dire ^^) par rapport à mon premier témoignage. Plus j’avance et plus la frustration disparait. Je suis encore plus satisfait qu’avant. Comme je vous l’ai dit, j’ai désormais mis des mots et des images sur ce que je faisais auparavant. Étant plutôt scientifique (de part mon travail), j’avais besoin de comprendre les mécanismes du point G et d’approfondir l’anatomie du sexe féminin. J’allie donc maintenant psychologie féminine, précision du geste et assurance vu que je sais maintenant comment les orgasmes marchent. Et je peux vous dire que ça se ressent auprès d’elle.
Elle jouit vraiment lorsque j’utilise mes mains. Plus on avance et moins elle m’arrête désormais. Enfin si, elle m’arrête car c’est trop bon et elle veut que je la pénètre. Ses craintes, ses peurs, ses appréhensions disparaissent petit à petit et ça, c’est juste génial. On a encore un peu de travail sur cette peur de l’inconnu mais Rome ne s’est pas faite en un jour comme on dit.
J’arrive à gérer ses montées en jouissance et j’en joue tout au long de l’acte pour la faire monter toujours le plus haut possible. C’est donc une petite victoire. »
Ce que j’en pense
Valentin a bien résumé la situation. Le sexe, c’est avant tout une question de confiance en soi ce qui entraine le lâcher-prise de sa partenaire. Quand cette dernière a confiance en celui qui partage ce moment intime avec elle, tout est possible. L’orgasme est alors à portée de main car vous allez lui permettre d’enfoncer avec vous toutes ces portes qui étaient jusqu’ici fermées à double tour. Pourquoi ? Dans 99% des cas, la raison est simple, cela vient juste d’une méconnaissance anatomique et d’un manque d’expérience (comme pour Nadia).
La confiance, cela s’acquiert et ce en étant sûr de soi. Mais comment être sûr de soi me direz-vous ? Et bien en connaissant le corps féminin et les bonnes techniques qu’on sait efficace et qu’on a vu donner des résultats (en vidéo notamment).
Quand vous possédez la connaissance, vous devenez plus à l’aise et cela déteint sur votre partenaire qui se laisse alors aller entre vos mains. C’est tout l’intérêt de ma méthode CAP, C pour confiance, A pour abandon et P pour préliminaires, le meilleur moyen de déstresser votre partenaire et d’exciter son corps mais aussi son esprit.
Et oui, on a trop tendance à oublier que le sexe chez la femme, ce n’est pas quelque chose d’uniquement physiologique. C’est aussi une question de bien-être intérieur, de tranquillité d’esprit et ça, ça se travaille aussi à votre niveau pour créer cette atmosphère propice à la survenue d’un ou plusieurs orgasmes.
Voir qu’elle a un homme qui maitrise, en l’espèce Valentin, cela permet à Nadia de se poser et de ne plus penser à autre chose qu’à son propre plaisir. Et ça, cela change tout ! Les interférences extérieures et intérieures disparaissent petit à petit chez Nadia, d’où son récent lâcher-prise ! La peur de l’inconnu ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir !
Bientôt de grosses éjaculations féminines !
Une première étape de passée !
« Sachez que vous m’aidez beaucoup en proposant ce contenu. Je pense même que ça va plus loin que le sexe. C’est bien connu, la sexualité est l’un des piliers fondamentaux d’une relation de couple qui dure. Vous pouvez donc être fier de votre travail car vous contribuez au bonheur des gens. 🙂
C’est le cas me concernant car vu que tout se passe de mieux en mieux, notre relation a désormais un projet commun : sa venue en France. C’est important car nous aurons alors du temps devant nous pour aborder l’éjaculation féminine et ce sans la bousculer. Éjaculer, c’est quelque chose de dingue quand on y pense ! Je ne vais pas vous le cacher, j’ai hâte de voir ça de mes propres yeux !
On avance donc petit à petit vers l’éjaculation féminine car elle se lâche de plus en plus. Comme je vous l’ai dit, j’ai confiance en mon potentiel pour lui faire découvrir le squirt car, étant une fille très émotive, je sens qu’elle a un potentiel orgasmique énorme. Ça promet ! »
Ce que j’en pense
L’éjaculation féminine est au bout du tunnel. Pour le moment, Valentin a juste effleuré le sujet. Il y va étape par étape ce qui va permettre à Nadia de digérer toutes ces informations tranquillement, paisiblement. C’est important de ne pas vous précipiter. Messieurs (en couple) et mesdames en solo ou en couple, même constat : on ne met pas la charrue avant les bœufs.
Avant de vouloir trouver le point G, les deepspot ou d’éjaculer partout au point de tremper votre lit, soyez rigoureux. Ne passez pas à la pratique tout de suite. Soyez malin, logique. Comme pour le permis, on étudie le code avant de passer à la conduite. Dans le sexe, c’est pareil. On travaille l’anatomie, les préliminaires etc. avant de passer aux techniques pour bien doigter une femme.
C’est de cette manière que vous pourrez utiliser mes techniques de stimulation sexuelle sereinement et surtout sans vous tromper.
Bref, je n’ai qu’une seule chose à dire pour finir : vivement l’épisode 3. 😉
* Les prénoms et toutes les informations personnelles de ce couple ont été modifiées afin de garder leur anonymat.