L’éjaculation féminine : fake, mythe ou réalité ?
Quand on entend parler de femmes fontaines, on se pose forcément beaucoup de questions sur ce phénomène. Qu’on soit une femme ou un homme, face au peu d’informations qui existe sur ce type de pratique sexuelle, on en vient à avoir des croyances. Qui dit manque de connaissances dit alors diffusion de fausses croyances. C’est là tout le problème !
Dès lors, beaucoup trop de personnes sont persuadées que le squirt, ce n’est pas quelque chose de possible, d’atteignable. L’éjaculation féminine se résume alors à un mythe voir à quelque chose de complètement bidon.
Dès lors, sans plus attendre, vous devez intégrer le fait que la capacité d’éjaculer et de jouir grâce au squirt n’est pas réservée à un cercle très fermé de femmes hors du commun. L’intégrer immédiatement, c’est le meilleur moyen de prendre conscience de votre potentiel enfoui en vous depuis bien trop longtemps.
J’espère que cet article vous permettra d’avoir un réel déclic !
Les femmes fontaines, c’est comme le monstre du loch Ness, cela n’existe pas ?
Pourquoi, quand on parle de femmes fontaines, met-on tout de suite ce type de pratique dans la case mythe (et mytho par la même occasion) ? Tout simplement parce-qu’il existe peu d’études, d’articles, de sites web sur ce phénomène. Dès lors, forcément, quand vous tapez femmes fontaines sur Google, vous avez plus de chance de tomber sur une vidéo porno que sur un article bien construit sur cette question. Et ça, cela dessert la compréhension du squirting. Les femmes fontaines deviennent alors une légende urbaine. Quelle tristesse !
L’éjaculation féminine n’est pas une invention du porno
Oui, vos ancêtres ont éjaculé bien avant vous !
L’éjaculation féminine n’est pas une création des films pour adultes. Il faut bien le comprendre, c’est important ! C’est donc tout sauf une simple pratique à la mode. Or, si on en parle aujourd’hui de plus en plus un peu partout, les bases, les principes de l’éjaculation féminine eux sont bel et bien tombés dans l’oubli au fil du temps. Et oui, qui sait aujourd’hui réellement comment cela fonctionne ?!
En fait, on s’est surtout compliqués la vie en se posant trop de questions (et surtout les mauvaises). Notre esprit cartésien a pris le dessus, ce qui n’est pas toujours une bonne chose. En effet, cela nous a fait perdre l’essence même de cette tradition ancestrale. Pourquoi ? On a voulu expliquer une nouvelle fois ce qu’était l’éjaculation féminine alors que cela avait déjà été très bien fait par le passé.
La raison est simple : on a du mal à prendre aux sérieux nos ancêtres. Pourquoi ? On a tendance à penser que ceux qui nous ont précédés racontaient des âneries uniquement parce-qu’ils n’avaient pas accès aux mêmes types de connaissances technologiques et médicales que nous pouvons avoir aujourd’hui. Je trouve ça vraiment grave et triste à la fois. On se fourre le doigt dans l’œil et bien profond à mon avis.
Trop de questions tuent la question (et le plaisir) !
Mon but ici n’est pas de vous faire un cours d’histoire sur l’éjaculation féminine. Cela serait je pense légèrement ennuyeux. Je veux juste vous prouver que lorsqu’on se replonge dans le passé, on voit bien qu’aux quatre coins de la planète, à travers des cultures totalement différentes, à diverses époques, qu’on fasse un bon de quelques centaines d’années ou de plusieurs milliers d’années, on constate qu’on ne se posait pas la question de la normalité de l’éjaculation féminine. On se demandait avant tout quels intérêts et quels bienfaits cela pouvait nous apporter. La nuance est essentielle !
La société occidentale actuelle a ses qualités mais aussi ses (nombreux) défauts. Cela prouve bien encore une fois de plus que nous sommes dans un monde où il faut rentrer dans des cases et où la différence n’est malheureusement pas considérée comme une force.
L’éjaculation féminine : un phénomène bien connu et ce depuis des millénaires
Des appellations très différentes selon les époques
Quand on étudie la question, on se rend compte qu’un grand nombre de civilisations très anciennes connaissaient déjà l’éjaculation féminine sur le bout des doigts :
- la civilisation Chinoise avec « la théorie des trois eaux », l’éjaculation féminine étant la troisième eau (tradition taôiste vieille de plus de 2500 ans),
- mais aussi Gréco-romaine (entre le 6e siècle avant J.-C et le 2e siècle après J.-C) où l’éjaculat était appelé liquor vitae, fluide vital en latin,
- au Japon dès le 16e siècle après J.-C où l’on voyait dans ce précieux liquide des vertus similaires à celles de la fontaine de Jouvence,
- sans oublier en Inde où l’on qualifiait l’éjaculat de Nectar des Dieux et où on lui faisait une place de choix dans le fameux Kamasutra (écrit vers le IV après J.-C).
On voit bien que l’éjaculation féminine intriguait déjà à l’époque mais dans le bon sens du terme et ce sans aucun a priori sur le sujet. Vous voyez, c’est tout sauf contemporain !
Un liquide si précieux !
La façon très imagée de définir l’éjaculation féminine à travers les âges en dit long sur l’aura positive qui entourait cette éjaculation. Cela doit d’ailleurs créer un déclic à votre niveau ! On dit souvent que pour comprendre le présent, il faut d’abord comprendre le passé. Et bien c’est vrai, notre passé a tellement à nous apprendre sur l’éjaculation féminine. On y trouve des réponses qui devraient nous aiguiller vers la vérité. Le souci c’est qu’on a encore beaucoup de mal à faire confiance à nos prédécesseurs. C’est fou quand même !
Pourtant, quand on se penche sur les textes anciens, on comprend qu’ils avaient une vision de l’éjaculation féminine totalement opposée à la nôtre. L’éjaculation féminine, de part sa particularité, était vue comme un phénomène énergisant, nourrissant, béni des dieux. C’était un cadeau de la nature synonyme de santé et de vitalité. On est bien loin du côté sale, dégueulasse et anormal qu’on a réussi à nous rentrer dans le crâne.
C’est dingue de voir que la pseudo évolution de l’Homme avec un grand H, un Homme qui se croit savant et omniscient, est quand même très limitée quand on se retourne sur notre passé et quand on voit l’objectivité dont faisaient preuve nos ancêtres à l’époque. Le plus évolué n’est donc pas forcément celui qu’on croit…
L’héritage du passé est à votre portée
Qu’est-ce que je veux vous démontrer ici ? Tout simplement que vous devez vous reconnecter à l’esprit curieux, ouvert, objectif de tous ces chercheurs du passé. Leur force était qu’ils n’étaient pas aveuglés par leurs croyances, ce qui peut être paradoxal à l’époque et pourtant.
Quand on y réfléchit bien, dans le passé, cette éjaculation féminine était donc très recherchée. Or, aujourd’hui, on se prive de cette éjaculation. On fait même tout pour la rejeter en attendant le feu vert de la sphère médicale par peur justement de ne pas rentrer dans un moule prédéfini, dans la norme afin au final de pouvoir se mêler à cette masse de gens bien proprette. Bref, le passé nous prouve que l’éjaculation féminine faisait partie de leur vie et qu’ils ne cherchaient pas à tout prix à la repousser.
Il est grand temps de faire de même. Laissez-vous pénétrer par la sagesse de toutes ces femmes qui vous ont précédées et qui vous livrent leur héritage éjaculatoire que vous devez accepter au plus vite ! Acceptez le passage de flambeau !
Oui l’éjaculation féminine existe depuis des millénaires, oui elle est à la portée de toutes. Oui elle était déjà étudiée à l’époque et oui elle était magnifiée, mise sur un piédestal. Cette éjaculation féminine doit, grâce à ma méthode, retrouver de sa superbe ! C’est donc à vous de jouer !
L’éjaculation féminine, c’est juste une histoire de jet, de liquide ?
Ne vous fiez pas qu’aux études médicales sur le sujet
Quand des études médicales, scientifiques sont disponibles sur l’éjaculation féminine, je n’hésite pas à en parler. Certaines brossent le squirt dans le sens du poil et d’autres pas du tout. Vous pourrez en trouver une sur l’éjaculation féminine ici et une sur le point G ici.
C’est important de faire référence à la sphère médicale car c’est comme ça que les choses avancent. Je pense notamment au clitoris dont on connait maintenant le vrai visage. En effet, on a pu définir la structure complète du clitoris, ce qui est essentiel pour savoir comment faciliter la survenue des orgasmes clitoridiens.
Cependant, il ne faut pas se fier uniquement à ce type d’études. Pourquoi ? Tout simplement parce-qu’il faut avant tout se faire confiance et surtout faire confiance à son corps, ses ressentis. N’est-ce pas le plus important tout compte fait ?
La médecine se base (trop) sur le factuel. Or le squirt, c’est du concret mais pas que. C’est un shoot de plaisir avant tout. Peu importe ce que c’est réellement au final, c’est le bonheur, la satisfaction que vous en retirez qui prime ! Si demain vous avez des orgasmes de folie en caressant une partie de votre corps qui n’est pourtant pas réputée comme donnant des orgasmes, allez-vous pour autant vous priver de cette stimulation ? La réponse est non. C’est pareil pour le squirt. Il faut avant tout vous baser sur les émotions et les sensations que vous ressentez. C’est primordial selon moi. Le reste est accessoire !
Pourquoi ? Je peux vous assurer que si je disais à toutes mes ex que le squirting n’est pas officiellement reconnu par le corps médical, elles n’en auraient rien à faire tellement elles prennent leur pied en éjaculant. Elles continueraient de plus belle et elles auraient bien raison.
L’éjaculation féminine, une histoire de performance ?
Pourquoi pense-t-on que l’éjaculation féminine, ce n’est que du bidon ? Tout simplement parce-qu’on fait une fixette sur l’exploit à savoir ce gros jet de liquide (gushing) qui est expulsé de façon incroyable. Or, ce n’est qu’une partie de l’équation. En effet, cela va beaucoup plus loin qu’un simple aspect visuel.
Et oui, si on s’intéressait réellement à la substantifique moelle de l’éjaculation féminine, on comprendrait alors que c’est tout sauf du blabla. On ne ferait plus une fixation sur l’expulsion de liquide mais on s’arrêterait sur l’abandon, le laisser-aller (mais pas que) que cela engendre et tout ce qui en découle. On verrait alors que cela débloque tout un tas de nœuds présents chez beaucoup de femmes. En effet, cela pousse à s’intéresser au corps féminin, au point g, à la façon de l’exciter à travers de bons préliminaires etc. Bref, cela pousse à s’aimer tout simplement !
On fait l’erreur de penser que c’est juste une performance or c’est bien plus que ça. On ne parle pas du plus important à savoir le fait que chaque personne qui étudie et pratique l’éjaculation féminine en ressort grandie. Si on prenait réellement en compte le témoignage de femmes et d’hommes qui ont pleinement vécu le squirting, je peux vous assurer qu’on n’en parlerait plus du tout à la légère avec le petit sourire en coin moqueur (qui m’énerve sérieusement).
Il faut recentrer le débat sur le concret. C’est à vous maintenant de voir ce que l’éjaculation féminine peut réellement vous apporter. Dès lors, plus jamais vous ne penserez que c’est un fake, croyez-moi ! 🙂
C’est le but de mon blog et de ma méthode : faire de l’éjaculation féminine une pratique dont vous devez être fier !
Allez au travail maintenant !