Étude IFOP de 2024 : les femmes et les hommes ressentent moins voir plus le besoin de faire l’amour

Les sondages sont un excellent indicateur de la bonne santé sexuelle des français et des françaises. Une image à un instant T de la sexualité de la population française permet justement de se rendre compte des pratiques des français mais surtout de la morosité ambiante au sein des couples. C’est encore plus vrai chez les personnes célibataires.

Et oui, quoiqu’on en pense, les sondages mettent en exergue certains problèmes latents (souvent sociétaux). Dès lors, j’avais envie de vous parler d’une « étude Ifop pour LELO réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 29 décembre 2023 au 2 janvier 2024 auprès d’un échantillon de 1 911 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus » (une étude à retrouver en images ici (infographie)). Elle est source d’infos très révélatrices selon moi.

En effet, lorsqu’on analyse ce sondage, on comprend alors que les français (femmes et hommes confondus) ne font plus l’amour. C’est bien triste mais à tout problème sa solution comme on dit ! Il suffit alors de se pencher sur les raisons de ce désamour du sexe non pas pour en rester à un simple constat mais bien pour se mettre au boulot ! On va voir comment changer les choses ensemble !

Une étude Ifop de 2024 lourde d'enseignements sur les français et le sexe

Les français font de moins en moins l’amour…

Ce n’est pas le premier sondage qui ne fait (malheureusement) pas honneur aux français !

Comme souvent dans les sondages sur le sexe, nous les français, nous ne sommes pas bons ! C’est comme ça, les français et le sexe, je crois franchement que ce n’est pas une belle histoire d’amour. On a beau en parler partout, à la télé, entre ami.e.s, dans les magazines etc., ce n’est pas pour autant qu’on maitrise ! Je ne vais pas dire que c’est dû au fait que c’est un sujet tabou vu que le mot « tabou » ne me plait pas. Je pense plutôt que c’est un sujet dont beaucoup de gens n’ont pas les clefs. Le côté mystérieux de la sexualité féminine, c’est bien de ça dont on parle ici, fait qu’on a du mal à s’y intéresser vraiment, certainement aussi parce-qu’on ne sait pas par où commencer. Et puis on a aussi peur de mal faire durant l’acte donc on n’ose pas !

Or comme je le dis souvent, c’est avant de vous retrouver en tenue d’Eve ou d’Adam qu’il faut bosser. Une fois devant votre partenaire, il est alors trop tard pour commencer à vous poser les bonnes questions. Par conséquent, pour beaucoup de gens, faire l’amour c’est souvent la grande désillusion. Et forcément, prendre conscience de ses échecs et de son incapacité à bien faire l’amour et à faire jouir intensément, cela décourage. Au lieu de se donner un coup de pied aux fesses et de se reprendre en main en s’intéressant aux bonnes techniques pour faire jouir une femme, on abandonne en se disant que c’est un domaine bien trop complexe donc on préfère s’en désintéresser voir tirer un trait dessus.

Les français font la grise mine niveau sexe

Il ne faut pas ensuite s’étonner si :

Tout part d’un réel manque de confiance en soi aussi, c’est le plus gros mal de notre époque selon moi ! Les conséquences sur la sexualité sont alors catastrophiques car comment voulez vous jouir, faire jouir et jouir à deux si vous ne croyez pas en vous ?! On va y revenir tout à l’heure.

Les françaises et les français font de moins en moins de galipettes !

C’est terrible mais ce que nous apprend justement cette étude Ifop très récente (2024) est pourtant très clair. Effectivement, il suffit de voir les chiffres :

  • quand on demande aux sondés à quand remonte leur dernier rapport sexuel, on se rend compte que la population française fait de moins en moins l’amour. La baisse la plus significative est du côté de ces messieurs, surtout quand on fait la comparaison avec les années 70. En effet, les hommes actifs sexuellement (au cours des 12 derniers mois) sont de moins en moins nombreux ! C’est encore plus vrai chez les jeunes (28% des jeunes de moins de 25 ans ont été sexuellement inactifs ces 12 derniers mois contre 5% en 2006). L’augmentation de l’abstinence sexuelle contrainte ou non sur des périodes relativement longues est un fait.
  • le « faire l’amour tous les jours » se fait aussi de plus en plus rare. On est passé de 8% à 4% des gens sondés entre 2009 et 2024 qui avouent avoir des relations sexuelles quotidiennement et on multiplie par plus de 2 (de 11% à 27%), sur la même période, le nombre de personnes ayant eu un rapport moins de une fois par mois.
  • et de façon hebdomadaire, ce n’est pas plus glorieux. 43% des français.es ont, en moyenne, un rapport sexuel par semaine, contre 58% en 2009. La baisse s’accentue au fil des années. Les français font la grimace sous la couette, c’est un fait !

Célibataires et couples, même combat !

Cette étude IFOP nous apprend aussi que :

  • les célibataires ont une vie sexuelle peu remplie, 7% ayant des rapports sexuels fréquents et 24% étant sans rapports sexuels.
  • du côté des couples, une personne en couple sur cinq admet ne pas ou ne plus avoir de rapports.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes, les personnes célibataires ont des rapports peu fréquents et les personnes en couple ne profitent pas d’avoir un ou une partenaire pour faire l’amour justement. Le sexe passe au second plan si je puis dire ! Alors oui, on peut avoir des rapports peu fréquents mais intenses mais selon moi, quand on est amoureux, on a juste envie de faire plaisir à l’autre, de le faire jouir, de sentir dans ses yeux le bonheur fou d’avoir des orgasmes donc faire l’amour, c’est juste le nirvana. C’est alors rare de se contenter de si peu si je puis dire ou c’est alors qu’il y a de l’eau dans le gaz voir un problème plus profond.

Au final, est-ce un réel désintérêt des français vis-à-vis du sexe ? On va le voir maintenant.

Les français se désintéressent-ils réellement du sexe ?

Le sondage nous révèle que :

  • 39% des femmes contre 55% des hommes ont l’impression qu’ils ne font pas assez l’amour. Depuis 1996, cette insatisfaction globale n’a cessé de grimper.
  • 62% des femmes contre 75% des hommes accordent de l’importance à la sexualité dans leur vie privée (chiffres en baisse encore depuis 1996) ce qui est assez paradoxal car 54% des femmes contre 42% des hommes pourraient continuer à vivre avec quelqu’un sans rapports sexuels. Que veulent réellement les français au final ?!
  • 69% des femmes contre 48% des hommes ne vivraient pas difficilement l’absence de rapports sexuels.
  • 30% des femmes contre 60% des hommes ressentent un manque en cas d’abstinence prolongée.

L’absence de rapports sexuels est donc plus facile à vivre pour ces dames que pour ces messieurs. Mais vous le voyez, tous ces chiffres posent une fois de plus une question : pourquoi tant de chiffres incohérents entre guillemets ?! Et oui, les français veulent du sexe mais peuvent faire sans. C’est illogique, n’est-ce pas ? En fait pas vraiment quand on y réfléchit bien.

Et oui, les français s’intéressent moins au sexe mais ils trouvent qu’ils n’ont pas assez de relations sexuelles. Il faut donc faire un focus sur un point précis grâce à ce sondage : les français font moins l’amour non pas parce-qu’ils n’en ont pas envie mais bien à cause d’un trouble (voir une angoisse) bien plus profond que ça. En effet, ils ne s’en sentent tout simplement pas ou plus capables, consciemment ou inconsciemment. Ils se brident. On va voir tout cela ensemble !

On ne fait pas ou plus l’amour car on ne s’aime pas

Les français sont de plus en plus abstinents sexuellement

Ce sondage révèle plusieurs choses :

  • l’absence d’attirance sexuelle pour autrui devient une orientation sexuelle de plus en plus assumée. Dès lors, 15% des femmes contre 9% des hommes se reconnaissent actuellement dans l’étiquette d’asexuel(le).
  • 52% des femmes déclarent qu’il leur arrive de faire l’amour sans en avoir envie, contre 76% en 1981.
  • chez les célibataires inactifs sexuellement, l’abstinence tiendrait avant tout à l’absence de partenaire attrayant, les hommes la justifiant aussi par le manque d’intérêt pour leur propre personne.

Mais quelles sont les raisons de cette abstinence ?

Et si cela tenait justement au fait que la plupart des gens ont un réel manque de confiance en eux :

  • notamment sur leur capacité (ce qu’ils croient tout du moins) à trouver un partenaire sexuellement attiré par eux (62% des hommes contre 41% des femmes)
  • ou même, et ça fait mal d’imaginer qu’on puisse le penser, sur leur incapacité à « tout bêtement » plaire à quelqu’un (61% des hommes contre 35% des femmes)

Je ne parle même pas de ces messieurs qui se pensent incapables, par extension, de faire jouir une femme, 47% des hommes ne se sentant pas prêts à avoir des relations sexuelles ou sentimentales contre 50% des femmes.

Le sexe devient alors quelque chose d’inatteignable, les mauvaises expériences et les désillusions remuant le couteau dans la plaie. Et forcément, c’est le cercle vicieux chez ces messieurs qui voient la sexualité comme quelque chose de complexe, « pas pour eux », donc on ne sait plus comment faire donc on se met des limites mentales. « Je ne suis pas capable », « est-ce que je peux plaire à cette femme ? », « elle me plait, ça c’est sûr, mais impossible qu’elle me trouve à son goût donc elle n’est pas pour moi (ou elle est trop bien pour moi) ». Vous hésitez, vous vous posez trop de questions donc vous ne trouvez aucune partenaire car vous ne croyez tout simplement pas en vous au final.

Ce n’est pas mieux chez ces dames qui vivent les mêmes émotions mais de l’autre côté si je puis dire. Soit elles ne pensent pas plaire soit elles voient le sexe comme quelque chose de pas si agréable que ça notamment parce-qu’elles sont tombées sur des hommes trop égocentriques pour les chouchouter et partir à la conquête de leur plaisir à elles ! Dès lors, cela peut vite refroidir et forcément elles préfèrent s’abstenir, les orgasmes n’étant pas (voir jamais) au rendez-vous ! On met alors les relations sexuelles (à deux) au placard !

Chat échaudé craint l’eau froide

Avec toutes ces pensées négatives en tête, sexuellement, comment voulez-vous faire des prouesses par la suite ?! Comment voulez-vous « performer » ?! Il est alors plus facile de s’abstenir et de se trouver de fausses excuses pour ne pas trouver une partenaire sexuelle justement. Or il vaut mieux avoir des remords que des regrets, toujours !

Et chez ces dames, on n’y croit plus donc forcément on baisse les bras. Et puis il vaut mieux ne pas faire l’amour que de passer un moment plat voir pas du tout agréable. Il est alors plus aisé de fermer les vannes si je puis dire, donc de s’abstenir sexuellement, avec des conséquences pas top notamment sur l’orgasmique point g qui ferme aussi les portes du plaisir !

L’abstinence, c’est une très bonne excuse pour ne pas s’améliorer, bosser la sexualité (surtout féminine) et en plus se plaindre ensuite qu’on n’arrive pas à jouir en rejetant la faute sur son, sa partenaire ou sur la malchance !

La solution passe donc par une remise en question, une prise de recul et surtout l’obligation de se mettre au boulot en ne restant (surtout) pas les bras croisés !

Bien faire l’amour, c’est s’investir et ça, on a du mal à le saisir

Vivez votre sexualité au lieu de la rêver !

Ce manque de motivation (d’envie) de faire l’amour, c’est aussi un manque de compréhension, venant des hommes mais aussi des femmes, sur les raisons de leurs propres échecs. Et oui, il faut intégrer au plus vite le fait qu’il va falloir bosser pour réussir. Le sexe, c’est tout sauf quelque chose d’inné. Il faut s’en rendre compte car sinon le sexe devient alors un concept qu’on pense ne pas maitriser (pour toujours). Et bien vous savez quoi ? Effectivement, vous ne maitrisez pas car pour ce faire, il faudrait bosser un minimum le sujet ! Et oui, désolé de vous l’apprendre mais c’est ça ou vous allez vous enfermer dans une spirale (infernale) de l’échec. Ne vous plaignez pas ensuite de ne rien comprendre aux femmes messieurs ou mesdames, d’en avoir marre de ne pas tomber sur de super bons coups car oui, il faut aussi guider votre partenaire (c’est votre job) !

Le problème, c’est qu’aujourd’hui, on préfère faire autre chose que de faire l’amour voir on évite le rapport avec sa moitié (infos tirées du sondage; c’est le cas surtout chez les jeunes). Dès lors, plutôt que de partager un moment charnel avec sa partenaire, c’est plus aisé  :

  • de se masturber en regardant un film porno (34% des hommes contre 28% des femmes), d’utiliser un sextoy (46% des hommes contre 28% des femmes) ou de se faire du bien avec sa main (32% des hommes contre 26% des femmes). Il est alors plus facile de prendre son pied en solitaire,
  • d’aller regarder Netflix, OCS etc. (29% des hommes contre 31% des femmes),
  • de lire un bon bouquin (26% des hommes contre 28% des femmes),
  • de jouer à des jeux vidéos (28% des hommes contre 17% des femmes),
  • de surfer sur les réseaux sociaux (28% des hommes contre 19% des femmes), la fabrique à frustration.

La réalité sans filtre fait souvent mal à l’ego !

La conclusion de tout ça c’est qu’on a de plus en plus peur de se confronter à l’autre, c’est ça le souci et les chiffres sont encore plus élevés (voir explosent) chez les couples de moins de 35 ans. Ce n’est pas étonnant car c’est face à l’autre qu’on se prend la réalité en pleine tête et ça fait mal ! Au lieu de se reprendre en main, on abandonne trop vite !

Et oui, il faut s’investir or beaucoup de personnes préfèrent aussi faire autre chose que de faire l’amour pour éviter, comme je vous disais, de prendre en pleine poire leur manque de savoir-faire face à une relation sexuelle qui n’est pas hyper satisfaisante pour leur partenaire (et donc pour eux) ! Les orgasmes ne sont pas servis sur un plateau d’argent, désolé de vous l’apprendre ! Dès lors, s’enfermer dans un monde virtuel en rêvant de la vie parfaite, ce n’est pas ça qui vous fera pratiquer et devenir un as en orgasmes féminins.

Il faut aussi vous confronter à la réalité : plus vous faites l’amour, plus vous vous plantez et meilleur vous serez donc il faut surmonter les difficultés en ne vous arrêtant pas au premier couac surtout si vous êtes en couple. Et puis c’est en communiquant que tout passe crème ! La communication, c’est une autre clé de votre succès !

Mon analyse personnelle d’une société en perte de repères sexuels

En fait, le retour de bâton fait mal car au lieu de mater des films x ou des séries à la mode en streaming, on ne bosse pas la théorie et la pratique, deux éléments indissociables de la sexualité. On ne se renseigne pas sur le point G, les femmes fontaines etc., en se disant que pas besoin, on verra ça en temps voulu. Or, quand on est face-à-face avec sa partenaire, son corps, son sexe et bien on se retrouve comme un con, à ne pas savoir quoi faire. Pire, on le fait mal en pensant que ça devrait passer mais non, cela ne passe pas donc après, forcément, on ose moins en se disant qu’on est nul. C’est le chat qui se mort la queue !

Ne faites pas les mêmes erreurs que 99,99% des gens font !

Communiquez, apprenez, osez mais ne restez pas inactif. Ne pas faire ou éviter de faire pour ne pas affronter ces obstacles que vous pensez (pour le moment) infranchissables, et bien c’est la pire des choses à faire. Cela explique d’ailleurs tous les chiffres de ce sondage et notamment :

  • ces mecs qui ne s’aiment plus donc qui ne peuvent pas se laisser-aller avec une partenaire. Et forcément, l’abandon (sexuel mais pas que) de la partenaire face à un mec qui n’est pas sûr de lui, et bien c’est (très) compliqué !
  • tous ces hommes qui ont perdu cette confiance en eux donc qui ne trouvent plus chaussure à leur pied par peur de ne pas être à la hauteur !
  • ces personnes qui se désintéressent du sexe et qui préfèrent Amazon Prime au clitoris de leur copine non pas parce qu’ils n’aiment pas ça mais par peur inconsciente (ou pas) de ne pas savoir comment le titiller. Dès lors, on préfère s’abstenir et mettre ses carences sous le tapis or ce n’est pas la bonne attitude.

La bonne nouvelle !

Ce n’est donc pas un désamour du sexe ou une impossibilité de trouver une partenaire sexuelle (qui leur plait), c’est juste que de trouver une partenaire, c’est prendre le risque de faire face à son incapacité à faire jouir l’autre et donc d’être (dans leur imaginaire) ce superman du sexe, ce mec avec un gros pénis comme dans les films qui doit faire l’amour pendant des heures. Or tout ça, c’est du bullshit. Le savoir vous permet justement d’être omnipotent et omniscient donc d’arrêter de fantasmer une sexualité souvent loin de la réalité. Or pour ça, il faut s’intéresser aux orgasmes féminins et ce afin d’être dans le succès (qui vous fait défaut pour le moment) !

D’autres enseignements à tirer de ce sondage !

Poursuivons sur les données tirées de ce sondage de 2024 :

  • toutes ces personnes qui restent bloquées dans ce monde virtuel ne comprennent pas que le sexe, c’est tout sauf virtuel. Et oui, on ne fait pas jouir une femme dans le virtuel, à distance ! Il faut passer à l’action, toujours !
  • c’est un problème de communication car on fait l’amour sans se parler, sans connaitre les envies de l’autre, un peu machinalement. Et ça, c’est le début de la fin, encore plus pour la femme qui se sent incomprise ! Absence de communication = absence d’orgasmes, croyez-moi !
  • il ne faut pas s’étonner ensuite que les abstinents augmentent ! On est abstinent pas par choix mais pas projection de son incapacité à faire jouir ou à jouir, vraiment ! Je me répète mais une fois que vous aurez dépassé vos peurs, par la connaissance justement, tout se débloquera !

Et je parle aussi à ces dames qui pensent que les mecs sont nuls et/ou qu’ils ont moins envie d’elles. Or vous devez aussi bosser seule, vous masturber pour ensuite guider votre partenaire, pas toujours à l’aise. C’est aussi en sachant comment prendre votre pied seule que vous pourrez ensuite le prendre à deux. Ne misez pas tout sur les compétences de votre partenaire pour avoir des orgasmes, soyez active sexuellement. C’est aussi comme ça que vous reprendrez confiance en vous !

La solution à ce manque d’entrain sexuel ?

Mauvaise nouvelle, il va falloir bosser ! Je sais, c’est dur, ahah ! 🙂

Blague à part, pour découvrir le corps féminin, le G-Spot, les zones érogènes primaires, secondaires etc., vous ne pourrez pas faire autrement à savoir analyser pour comprendre, pratiquer en solo, à deux, tester différentes techniques sexuelles jusqu’à trouver la bonne sans oublier de parler avec votre moitié, toujours !

Dès lors, si vous voulez que je vous mâche une partie du travail, direction ma méthode, juste ici !

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