12 conseils pour être endurant au lit et donner du plaisir à votre partenaire
95% des mecs ont la peur de jouir trop rapidement
La crainte du « beaucoup trop vite » !
Quand on fait l’amour pour la première fois avec sa nouvelle petite amie notamment mais aussi dans sa vie de couple au quotidien, on a une crainte nous les hommes, crainte qui devient une peur panique pour certains : est-ce que je ne vais pas être trop excité au point de ne pas pouvoir me retenir donc éjaculer trop vite avec le risque de décevoir celle que j’aime ?!
Déjà il faut vous dire une chose, peu importe le temps que vous durez, dans votre tête cela ne sera pas assez long pour vous. C’est très masculin comme croyance que la relation sexuelle doit durer trois heures pour satisfaire sa partenaire.
C’est avant tout sur vous qu’il faut travailler car il y a toujours un gouffre entre ce que vous pensez être bon (souvent inatteignable par le commun des mortels) et la réalité et surtout la réalité de votre partenaire.
Le sexe (et le plaisir), c’est très subjectif
En effet, c’est très subjectif à tel point que ce n’est pas la durée de la relation sexuelle qui importe mais bien le plaisir ressenti par votre partenaire mais surtout par le duo que vous formez avec elle !
C’est un peu comme si l’on vous proposait de faire un tour de circuit avec une Ferrari. Le tour ne va pas durer très longtemps mais les sensations sont juste exceptionnelles vu que vous êtes dans un bolide d’exception. Le plaisir ressenti prévaut sur la durée courte du tour tout simplement car vous avez pris votre pied à accélérer comme un fou, le moteur rugissant dans votre dos. Cela a duré 5 minutes ? Et alors, vous étiez à bord d’une voiture exceptionnelle, c’est ça que vous allez retenir, pas la durée du tour. C’est pareil en amour, la qualité est plus importante que la durée de la relation sexuelle.
Et je vais vous dire une chose, se poser la question suivante : est-ce que je vais être bon et donc durer suffisamment longtemps, c’est déjà vous diriger tout droit la tête dans le mur ! Il faut avoir un mental de vainqueur avant de commencer car gardez toujours en tête que le mental à un pouvoir sur le corps !
Prenons le temps de définir la précocité
Je tiens déjà à vous rassurer !
En effet on considère comme précoce un homme qui éjacule en deçà de la minute de pénétration donc sauf cas exceptionnel, il est peu probable que vous soyez éjaculateur précoce.
Dans tous les cas, cela m’amène à bien encrer dans votre esprit qu’il faut faire la différence entre pénétration sexuelle et relation sexuelle, la relation sexuelle regroupant la pénétration mais aussi tout ce qu’il y a à côté dont les fameux préliminaires.
Alors bien entendu des études ont été réalisées sur la durée moyenne de la pénétration. Les conclusions annoncent une durée moyenne de 7 minutes mais ce ne sont que des chiffres qui n’ont en plus aucun rapport avec le plaisir pris par votre partenaire car oui on s’en fiche royalement de cet aspect purement statistique. C’est un peu comme mettre des chiffres sur la taille de pénis moyenne, petite ou grande, c’est tellement subjectif et c’est une perte de temps car l’important c’est ce que votre partenaire mais aussi vous allez ressentir pendant ce moment partagé, peu importe qu’il dure 3 minutes, 10 ou 20 minutes.
Je vais vous dire une chose, c’est tellement subjectif (encore une fois)
Et oui, cela m’est arrivé de faire l’amour à une partenaire et dans la précipitation mutuelle de ne faire qu’un, cela a pu durer moins de 7 minutes et pourtant c’était extrêmement intense. Comme quoi, cela ne veut absolument rien dire. Ce n’est pas parce-que vous êtes endurant que vous êtes un bon coup au lit, c’est important de ne pas lier durée et plaisir car en pensant comme ça vous ne vous concentrez pas sur l’essentiel et l’essentiel c’est comment faire ou plutôt comment bien faire !
Et c’est aussi pour cette raison que plus tôt dans cet article je voulais bien faire la différence entre relation sexuelle et pénétration pure car sachez une chose, votre partenaire ne retiendra pas le temps que vous allez mettre à la pénétrer montre en main. Elle verra la globalité de votre rapport et la satisfaction qu’elle a pu en retirer du début à la fin.
Donc vraiment arrêtez avec ces histoires de performance, vous n’êtes ni acteur (qui sont des professionnels entrainés à durer, c’est leur métier en même temps) ni dans un film x qui sont très souvent montés donc qui donnent l’illusion de scènes qui durent 30 ou 40 minutes.
Pourquoi c’est si important pour nous messieurs de durer si longtemps ?
C’est important de se poser cette question. En fait nous voulons tout simplement avoir la capacité de faire jouir notre femme car nous savons très bien que l’orgasme féminin peut demander un peu plus de temps que l’orgasme masculin. On se centre sur l’autre, c’est beau mais il faut redescendre sur Terre afin de prendre conscience que votre partenaire ne vous demande pas l’impossible, juste que vous vous occupiez d’elle en ne faisant pas une fixation sur le temps qui défile mais plus sur votre façon de lui faire du bien.
Quoiqu’il en soit, je comprends parfaitement vos doutes à chaque fois que vous faites l’amour à votre partenaire, outre le fait de ne pas faire une fixation sur les minutes qui défilent, il y a tout de même quelques astuces à garder à l’esprit afin justement de ne pas partir au quart de tour et de ne surtout pas vous laisser déborder par votre excitation à l’instant T où vous passez à l’acte !
Au final, pourquoi c’est si important en matière d’orgasmes féminins et d’éjaculation féminine de durer le plus longtemps possible ? C’est simple, si vous ne durez pas suffisamment longtemps, vous n’aurez pas le temps d’utiliser mes techniques pour faire éjaculer votre partenaire avec le pénis. Ce n’est pas plus compliqué sur ça.
Voyons cela ensemble !
Ma liste de 12 conseils pour durer au lit
1. Ne vous précipitez pas
Quand je parle de prendre votre temps, je parle ici surtout de votre façon de pénétrer votre partenaire avec votre pénis. Ce n’est pas une course et ce n’est pas à celui qui aura fait le plus de mouvements de va-et-vient en une minute.
Plus vous allez vite et plus vous allez venir vite.
On a tous vu une femme utiliser un godemiché en vidéo, en général, dans 3/4 des cas, elle ne se pénètre pas comme une dingue, pas du tout. Elle y va doucement afin de ressentir l’objet venir caresser tout son vagin.
C’est une idée de films x ça où l’homme tient pendant une heure dans un rythme de pénétration effrénée.
Justement pour ne pas avoir un orgasme trop vite, il faut alterner messieurs, passer d’un rythme lent à rapide, d’une pénétration profonde à une moins profonde afin de ne pas grimper trop vite dans les strates du plaisir et en général quand on dépasse l’avant dernier stade, celui qui ne vous permet plus de (vous) maitriser, c’est fichu. Il faut donc toujours avoir le contrôle afin de pouvoir faire descendre la pression sans pour autant avoir besoin de faire une pause, ce qui couperait le plaisir de votre femme.
2. Protégez-vous
Quelle drôle d’idée ? Vous allez comprendre pourquoi je vous parle de préservatif.
Quand on est en couple depuis longtemps, je sais bien que ce n’est pas forcément le bon plan mais le préservatif classique qui chez beaucoup d’hommes a un effet débandant (désolé pour le terme mais il faut appeler un chat un chat) et encore plus le préservatif retardant, permettent en effet de retarder le moment fatidique entre guillemets. Le latex du préservatif retardant est alors enduit de benzocaïne, un anesthésique local qui va désensibiliser votre gland ce qui vous permet de moins ressentir le contact de vos parties intimes sur les siennes.
Et je peux vous dire que c’est aussi dans la tête que cela se passe car vous le verrez comme un allié sur lequel vous vous reposerez donc vous êtes moins enclin justement à penser à cette éventualité de jouir trop vite. Vous retrouvez alors votre capacité à contrôler donc c’est tout bénéf. N’hésitez pas à progressivement passer du retardant au préservatif basique avant de les laisser de côté (si et seulement si vous avez fait les tests MST vous et votre partenaire, cela va de soi).
3. Pensez au gel retardant
De la même manière et sur le même principe que le préservatif, pensez au gel ou lubrifiant retardant sauf que dans ce cas plusieurs cas de figure se posent à vous :
- soit vous avez fait les tests sanguins, tout est ok chacun de votre côté au niveau des MST. Dès lors pensez bien à laisser le produit faire effet sur votre pénis en érection avant la pénétration car vu que vous n’utilisez pas de préservatif, le vagin de votre femme serait alors lui aussi anesthésié.
- soit vous ne pouvez pas encore vous passer du préservatif et dans ce cas pas de problème j’ai envie de dire.
4. Faites sortir la pression avant
Une méthode simple et efficace : rien de tel que de se masturber juste avant de faire l’amour. Je sais bien que ce n’est pas forcément évident de se préparer car le sexe c’est souvent improvisé mais si vous avez l’occasion de pouvoir libérer la pression justement en éjaculant une fois avant de passer aux choses sérieuses avec votre partenaire, c’est vraiment une bonne façon non pas de se masturber pour prendre moins de plaisir avec votre femme par la suite, pas du tout mais tout simplement d’être plus détendu, plus zen car vous aurez libéré la grosse excitation du rapport sexuel brut de décoffrage alors que vous n’avez peut être rien fait depuis 24 heures voir plus. Le but ici est d’expulser ces pulsions incontrôlables avec la masturbation, des pulsions qui poussent souvent à une éjaculation trop rapide.
J’ai envie de dire, testez par vous-même alors que vous êtes seul. Masturbez-vous une première fois puis dix minutes plus tard recommencez à vous masturber. Vous verrez que le moment est aussi bon mais on n’est pas dans le même état d’excitation. D’ailleurs vous l’avez remarqué, quand vous venez d’éjaculer, vous n’avez plus envie de sexe, c’est physiologique. Sachez que si vous patientez un peu, vous en aurez envie mais d’une façon moins frénétique car le coït effectué il y a peu de temps vous aura rassasié donc vous aborderez la relation sexuelle suivante dans une optique moins bestiale et moins sauvage, cette dernière devant absolument aboutir à l’éjaculation (c’est dans les gènes de l’homme avec un petit h). Là vous aurez dépassé ce stade donc vous verrez que vous aurez beaucoup plus de contrôle, chose plus compliquée quand vous êtes trop excité.
5. Changez votre façon de vous masturber
Il convient en effet de changer totalement votre façon de vous masturber. Et oui, nous les hommes on se masturbe afin d’arriver à l’éjaculation le plus rapidement possible, c’est le but de la masturbation en solitaire. On sort un magazine coquin ou on se met devant un site de vidéos et puis on fait notre petite affaire assis sur le siège du bureau, un sopalin à portée de main. Ce n’est pas super glamour et surtout c’est du rapide et ça ce n’est pas bon car sans le savoir, cela déteint ensuite sur la relation sexuelle à deux.
Et oui, on se sert de la masturbation pour atteindre rapidement le plaisir de l’éjaculation et on reproduit le même schéma quand on est avec notre partenaire et là c’est inconscient d’où des problèmes de précocité de beaucoup d’hommes. Il faut alors modifier votre manière de vous faire du bien seul en prenant votre temps.
Installez vous sur votre lit, faites en sorte de n’avoir personne dans la maison afin de ne pas être obligé de vous presser. Fermez la porte à double tour et surtout lorsque le plaisir arrive, faites en sortes de faire diminuer la pression et forcez-vous à ne pas éjaculer tout de suite.
Apprenez aussi à distinguer les facteurs déclencheurs de votre éjaculation : une caresse à un endroit précis (le frein, le gland par exemple), une pensée…
Le but n’est pas de jouir le plus vite possible en faisant des mouvements de masturbation trop rapide qui ne vous apprennent pas grand chose sur vous mais bien et de savourer l’instant présent donc d’apprendre à vous contrôler car vous allez pouvoir justement faire de la masturbation un entrainement et non plus juste une façon de vous soulager en solo. C’est vraiment un changement de mentalité important !
6. Pensez à autre chose
C’est un conseil qu’on donne souvent et qui peut faire sourire, « pense à ta grand-mère ou à quelque chose de tout sauf excitant » mais c’est un conseil qui est loin d’être stupide et qui a fait ses preuves !
7. Une pause s’impose
Vous sentez que vous êtes sur le point de jouir et que le point de non retour est sur le point d’être atteint ? Prenez une pause mais pas une pause du genre « chérie, il faut que je me retire de toi car cela va trop vite », soyez plus malin. Faites-lui un cunnilingus par exemple, embrassez-la, caressez-la, prenez-la dans vos bras… Le but ici est de faire baisser la pression pour reprendre de plus belle la pénétration dans quelques minutes sans pour autant casser ce moment sexuel.
8. Testez la technique du « je te pince »
C’est ce qu’on appelle la technique du « Squeezing » en anglais et qui consiste alors que vous sentez que vous allez éjaculer à presser la base du gland au niveau du frein avec votre pouce et votre index. Le mouvement est assez simple à effectuer. Il faut par contre l’inclure dans une sorte de jeu coquin entre vous et votre partenaire, votre femme vous pinçant au bon endroit au bon moment. Pensez alors à ne pas repartir dans une pénétration vaginale, poursuivez plutôt par des caresses, une stimulation orale… avant de vous y remettre. Il faut une certaine continuité dans tout ce que vous faites afin de ne jamais couper court au plaisir de votre femme et du vôtre.
9. Les positions à privilégier
Le mental même chez l’homme reste très important, vous allez le comprendre. Si je vous demande quelle est la position la plus excitante et celle que vous préférez messieurs ? Dans 90% des cas je pense, vous allez me dire la levrette. Et oui, il n’y a rien de plus excitant, la vue sur les fesses, le sexe, la cambrure et l’anus de votre femme sont autant de facteurs qui peuvent vous faire éjaculer très très vite.
Il convient donc de privilégier des positions moins excitantes psychologiquement entre guillemets mais aussi physiquement surtout au début de la pénétration.
La position d’Andromaque est alors intéressante, votre partenaire sur vous. C’est elle qui contrôle la profondeur et la force de pénétration. Elle fera alors en sorte de faire des mouvements lents de bassin afin justement de ne pas reproduire ce qui vous fait venir trop rapidement.
La position de la cuillère, elle allongée sur le côté et vous derrière elle, est aussi intéressante pour ne pas faire des mouvements de bassin frénétiques.
Dans tous les cas, le changement de position vous permet aussi de faire redescendre la pression.
10. Apprenez à bien respirer
La maîtrise de votre éjaculation donc de votre excitation passe aussi par une bonne respiration.
Il suffit de prendre l’exemple suivant : celui qui est paniqué a tendance à respirer très vite comme s’il allait suffoquer. Plus il respire vite, moins il arrive à se contrôler et plus il a l’impression qu’il ne peut plus retrouver son calme. C’est pareil en matière de sexualité. Vous devez pouvoir contrôler votre respiration en inspirant et en expirant profondément pendant l’acte. Évitez impérativement les souffles courts ou une respiration irrégulière, il n’y a rien de pire.
Profitez de votre masturbation en solitaire pour vous entraîner.
La respiration vous permet alors de tempérer… Les sexologues préconisent de jouer avec la respiration et la montée de la tension sexuelle avant d’atteindre le point de non-retour. Dès lors, si votre excitation est trop grande, vous pouvez ralentir votre respiration ainsi que la cadence de pénétration pour accroitre cette dernière un peu plus tard. C’est un peu comme les montagnes russes. C’est un très bon moyen pour rallonger la durée des galipettes tout en titillant l’excitation de votre partenaire.
11. Faites durer les préliminaires
Les préliminaires constituent une étape essentielle à ne surtout pas sous-estimer. Avant de passer à l’acte, vous devez séduire votre partenaire. Le regard est très important. Montrez-lui qu’elle vous plaît, qu’elle est la femme dont vous avez envie. C’est tout un rituel qui vous permettra de gagner de précieuses minutes avant le grand saut.
Les préliminaires ont un intérêt et c’est le suivant : ils augmentant la durée de la relation sexuelle et je parle bien de la relation et pas juste du rapport (donc de la pénétration). En effet, en mettant le paquet sur un massage couplé à un cunnilingus par exemple et en ne faisant pas de ces préliminaires un moment que vous essayez de boucler au plus vite pour passer au sexe pur et dur, et bien vous allez alors créer un équilibre entre l’avant pénétration et la pénétration.
Vous allez même créer un déséquilibre dans le bon sens du terme en ayant tellement bien préparé la pénétration avec ces préliminaires que votre partenaire se satisfera d’une courte pénétration car elle sera à point justement pour avoir un orgasme qui vous tend les bras. Mais bien entendu il y a une façon de faire de bons préliminaires donc de préparer votre partenaire et j’en parle dans ma méthode CAP !
12. Le Muscle PC, un muscle qui ne concerne pas que les femmes
Et oui, il existe des techniques basées sur l’utilisation à bon escient de votre muscle PC messieurs, un muscle qui n’est pas juste une histoire de femmes comme on le verra dans un bonus de ma méthode.
Pour localiser ces muscles PC, le mieux est de contracter les muscles autour de l’anus, (image ci-dessous) comme pour retenir des gaz et/ou l’urine :
Une telle contraction resserre automatiquement les muscles du plancher pelvien. Vous allez ressentir un resserrement et une remontée du pénis, voir même une légère érection. Prenez votre temps pour bien les sentir et les localiser, rien ne presse !
L’intérêt de maîtriser votre muscle PC ?
Plus vous vous approcherez de l’orgasme et plus vous contracterez ce muscle d’où l’importance de le ressentir et de le muscler justement avant de passer à l’acte ! Et oui, ce n’est pas alors que vous êtes nu comme un ver face à votre partenaire qu’il faut vous poser la question du muscle PC ! Cela se prépare en amont comme un sportif qui s’entraîne pour être le meilleur le jour de la compétition.
Un exercice simple à effectuer
Dès lors, si je pouvais vous donner un exercice à effectuer le plus souvent possible et ce afin de renforcer votre muscle PC, ce serait l’exercice suivant.
Vous allez tenir la contraction de vos muscles PC 2 secondes puis vous relâchez. Prenez un repos de 2 secondes puis vous repartez pour une contraction de 2 secondes. Effectuez cet exercice 10 fois de suite. Faites cet exercice 10 fois par jour, 5 jours par semaine.
Au bout d’une semaine ou même avant, vous allez corser les choses en passant à 10 contractions de 3 secondes 10 fois de suite 10 fois par jour, 5 jours par semaine.
Augmentez tranquillement le temps de contraction jusqu’à réussir à contracter 10 secondes 10 fois de suite 10 fois par jour. Vous pouvez diminuer le temps de pause tout doucement et même augmenter le nombre de répétitions et de sessions chaque jour (jusqu’à 40 fois par jour, 40 fois de suite pour les confirmés). Il faut bien entendu y aller crescendo. Ne faites pas de compétition, le principal c’est de vous exercer car je vous le rappelle, avant de lire cet article (et j’en suis quasiment certain), vous ne connaissiez pas vos muscles PC donc ce ne sera que du bonus dans tous les cas.
Et vous, quelles sont vos astuces pour ne pas jouir trop vite ?
Amicalement,
Nicolas
PS : Si dans ma méthode je donne à ces dames de nombreux exercices de musculation du muscle PC, j’ai aussi pensé à vous messieurs dans un module bonus. 🙂